Le facteur - Histoires de Sexe

Le facteur

... ?
— Chloé… Nolwenn ne parle peut-être pas italien.
— C’est de l’inuit.
— J’ai compris… Chloé et vous… Vous êtes amoureuses…
— Ah ! Tu vois qu’elle parle papou !

Notre factrice lâche un petit sourire, et Chloé en profite pour remonter sa main sur la cuisse de sa proie. La connaissant, elle doit maudire les jeans noirs.

— Tu m’excites beaucoup toi aussi, Nolwenn. Mais moi, je ne suis pas toi… Et toi, tu n’es pas Jul. Et bien sûr… Jul n’est pas nous… mais… C’est dingue ça. Il y a toujours un mais…

Et c’est tout. Chloé s’amuse encore.

— Traduction du papou au français… Si Chloé était sûre que tu ne tombes pas amoureuse, elle apprécierait…
— De te bouffer toute crue… Tu vois ?
— … qu’il se passe quelque chose entre vous. Le « Mais » c’est moi. S’il s’avérait que Chloé te plaise assez pour…
— Que tu me laisses te bouffer toute crue…
— … ce serait avec mon accord et en ma présence.
— Non, non ! Tu la mangerais toi aussi, ma Jul… Autant être claires dès le début !
— Oui… Tu as raison, ma belle. Donc Nolwenn… c’est nous deux ou rien. Ceci, dans le cas où tu sois bien sûre de toi…

Chloé a posé une longue main sur l’épaule de notre invitée. Si elle sourit, elle est sérieuse et ses yeux sombres fixent ceux de Nolwenn.

— Je ne veux pas d’embrouilles. Nous ne voulons pas d’embrouilles. Nous sommes amoureuses… Comprendo ?
— Oh Chloé ! Nolwenn ne parle peut-être pas…

Le rire nerveux de notre factrice me coupe la parole. Il est temps d’en finir. Parler ...

... espagnol et les rougeurs de Nolwenn pourraient bien attirer un taureau furieux chez moi.

— J’ai compris… Pas d’embrouilles…

Ma compagne a les seins pratiquement à l’air et cette fois, elle ne se rend réellement pas compte de ce qu’elle nous montre.

— Pas d’embrouilles… Ma Jul et moi… Tu réfléchis peinarde… Tu nous dis ça quand tu le sens… Tu prends tout ton temps… Une semaine, un mois… Ou jamais ! Finis ton verre ! On va en boire un dernier…
— C’est tout réfléchi… Et… Il n’y aura pas d’embrouilles. Promis !

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Nolwenn est restée coite quand Chloé lui a enlevé sa veste noire. Elle n’a pas proféré un son, quand le haut noir a suivi le même chemin. Notre jolie factrice n’a pas bronché, quand sandales et jean noir se sont envolés. Nolwenn a balbutié quelques mots inaudibles quand ma compagne lui a lentement retiré sa charmante petite culotte, tout aussi noire que le reste de ses affaires.

Notre factrice a regardé le kimono de Chloé s’affaler doucement sur le sol en silence, et a doucement gémi, quand ma diablesse de femme lui a gentiment écarté les jambes, après s’être agenouillée devant elle.

Quelques instants plus tard, Nolwenn jouissait en geignant dans ma bouche, alors que je l’embrassais.

Chloé et moi avons soupesé et soupesé encore les petits seins aux pointes roses de notre factrice. Et ce, afin de ne pas léser notre proie, par une taxe abusive, imposée par nos efforts.

Nous avons léché ses petits tétons durs, sous le timbre ...