1. Cousines


    Datte: 21/11/2023, Catégories: fffh, jeunes, Inceste / Tabou vacances, plage, forêt, caresses, pénétratio, init, enfamille, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... ce fut le calendrier des vacances scolaires, pas du tout pratique. Cinq jours à cheval sur deux semaines à Toussaint, râpé. Noël, c’est avec les parents, février comme Toussaint. Restait Pâques, du quatre au dix-huit avril, mais les grandes vacances étaient avancées au trente juin avec reprise le dix septembre. Ça n’allait pas du tout ce nouveau calendrier. Même les parents allaient devoir changer leurs dates de vacances pour juillet et août entiers. Ajoutons à cela que Mireille potassait son bac et l’histoire était pliée. On aurait juste droit à la semaine des fêtes, avec les parents…
    
    Et c’est exactement ce qui se passa. C’est vrai que cette semaine en hiver était très agréable, mais bon, avec les parents majoritairement à la maison à cause du temps moyen-moyen. La question ne se posait même pas pour les vacances de Pâques, Mireille révisant, on n’allait pas faire deux voyages pour les trois autres… Eh bien, son bac, elle l’a raté. De peu, mais raté. Je ne raconterai pas les larmes, qui contaminèrent toutes les femmes de la famille. J’ai dit à mon père :
    
    — Normal, c’est une bosseuse, mais elle n’est pas douée.
    — Toi, méfie-toi bien. Tu pourrais bien faire un doué recalé aussi.
    
    Sympa, la confiance régnait. Mireille avait une session de rattrapage en septembre, juste avant la rentrée. Donc, pas de vacances pour Mireille, restant bosser avec sa mère à la maison. Il est vrai que Francine et moi avons passé de très bons moments, et à son tour, désormais sans rivale, ...
    ... elle m’offrit des moments partagés d’érotisme délicieux, Mais honnêtement, ces vacances étaient un peu gâchées. Pour rien puisque Mireille ne réussit pas à convaincre le jury. Il y avait dans l’air quelque chose de pesant, d’anormal, comme un grand calme avant la tempête… Tu parles, dix mois plus tard, tout pétait dans les facs parisiennes et la France semblait plongée dans le chaos. « Sous les pavés, la plage » qu’ils disaient, ben gardez vos pavés et laissez-nous notre plage, parce que si ça continue on ne pourra même pas y aller. Ouf, en juin c’était terminé, le bac, ou un semblant eut lieu avec une immense mansuétude qui permit à Mireille de l’obtenir avec mention. Assez bien, mais mention tout de même. Direction Ré !
    
    Ça aurait pu être bien, mais… Un, Mireille (toujours elle) s’était inscrite en classe prépa pour faire une école de commerce. Une sorte de bagne, disait-on, mais pas celui de Saint-Martin, où il fallait bosser, bosser et bosser encore… Alors les parents n’ont eu qu’une idée, qu’elle commence à bosser tout de suite ! Et comme Francine et moi allions à notre tour subir les épreuves du bac à la fin de l’année, même combat. Ils nous ont même un peu confinés ensemble, puisque nous étions censés suivre le même programme. Nous eûmes quand même droit au petit bal local du 14 juillet, au feu d’artifice du 15 août et le reste du temps quasi-enfermement. Heureusement que cette année-là mon père acheta un salon de jardin et un parasol, ce qui nous permit de réviser un ...
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