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Poste de garde
Datte: 21/11/2023, Catégories: fh, plage, Collègues / Travail occasion, Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... car Cathy est vite happée par les diverses arrivées dans l’usine. — Bonne matinée, Cathy. Je viendrai vous voir durant la pause de midi. Elle semble étonnée et en même temps contente de ma proposition : — Ah d’accord… à ce midi… La matinée passe assez vite. Midi dix, ayant rapidement mangé mon sandwich, je me dirige vers le poste de garde. D’après ce que je crois avoir vu en m’approchant à pied du poste de garde, je suis prêt à mettre ma main au feu que Cathy a descendu un peu plus sa fermeture éclair quand elle a découvert que je venais effectivement lui faire le petit coucou promis durant l’heure du midi. Quand je suis face à elle, j’en ai la confirmation : son décolleté en révèle un peu plus que les autres fois, ce qui est loin d’être désagréable… D’humeur badine, elle me demande : — Pour parler comme vous : que me vaut l’honneur de votre visite ? — Je sais que vous finissez à quatorze heures et donc que je ne vous verrai pas ce soir. De plus, je ne vous ai pas vue longtemps ce matin. — Comment vous savez ça ? Je désigne du doigt un tableau blanc accroché sur une cloison : — Je sais lire un planning… — Ah oui… Alors, toujours aussi doués, vos stagiaires ? — C’est un nouveau lot. Oui, ils ne sont pas mauvais. Elle plisse des yeux, puis elle m’annonce : — Vous avez une miette de pain… oui, là à droite… c’est bon, il n’y en a plus. — Merci de me l’avoir indiquée… — Oh, pas de quoi, ça me perturbait… Essayons de bien rebondir… — ...
... En parlant de perturbation, il me semble bien que je vous ai déjà dit le premier jour que vous avez là un très joli décolleté, Cathy… — Oui, je m’en rappelle. Je vous ai répondu que tous les hommes zieutent dedans, sauf le directeur des RH ! — Et j’ai enchaîné sur la question : personne n’a encore osé déposer un baiser ou deux sur chacun de vos deux beaux monts ainsi offerts ? — Et moi, j’ai répondu que personne n’avait osé. — Dommage pour eux… — Et pas pour vous ? Il faut savoir se jeter à l’eau. Je me penche et je dépose un premier baiser sur l’arrondi de son sein gauche, puis un second sur son voisin. — Moi, c’est fait à présent ! Mains sur les hanches, poitrine bien en évidence, elle s’exclame : — Vous êtes un sacré coco, vous ! — Disons que je suis ludique et que j’essaye de profiter des belles opportunités qui se présentent sous mon nez… — Oui, je vois ça ! Je constate qu’elle n’est nullement offusquée, elle affiche même un petit sourire de connivence : — Remarquez, qui ne tente rien n’a rien, n’est-ce pas ? — Je suis heureux que cette remarque sorte de votre bouche… — Ça vous dédouane, c’est ça ? — Ça m’encourage plutôt… Elle tend ses mains en avant comme pour me barrer le passage : — Viannet, je ne suis pas contre certaines initiatives, mais sans que ça dépasse une certaine limite. — Je comprends parfaitement. À moi de deviner cette limite… — Oui. — C’est un peu de la triche, Cathy. Je ne suis pas devin… Mettant ses bras le long ...