La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1674)
Datte: 17/11/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... amis et famille, où mes conditions de vie étaient construites autour de la bienséance, des convenances et les bonnes manières… Désormais je n’étais plus qu’un vide-couilles, qu’un chiotte, qu’une salope surchauffée par des désirs voire des besoins puissants et incompressibles d’avilissement, de dégradation totale et de débauche… Nous roulions encore longtemps… très longtemps puisqu’à deux reprises, j’avais bénéficié des faveurs d’Antoine. Oui par deux fois, il m’avait envoyé sa sauce, il m’avait donné cette lave brulante au gout salé après m’avoir défoncé copieusement, usant de ma bouche comme un vagin chaud, humide, accueillant comme un vulgaire jouet, un simple trou pour se soulager ses couilles devenues énormes par la taille. Mon corps nu en sueur tout entier se tordait de crampes de bonheur, je me laissais emporter vers l’avant, vers ce monde pervers et obscène en me promettant de ne jamais faire machine arrière… Cette fois-ci, Antoine et moi, nous étions débarqués du véhicule. Nous nous retrouvions devant une demeure ancienne de type longère. Nous étions tous deux à quatre pattes dans cette cour fermée et gravillonnée… Madame Brigitte fixait les ordres autoritairement :
- Emmène le mâle, conduit-le vers Marianne et dis-lui de lui donner sa dose d’excitants et de stimulants… Nous allons avoir besoin de sa nouille dans peu de temps !, disait-elle à Franck- Pitié Madame… Je vous en supplie Madame !, osait répliquer Antoine.
- Pardon ?... Ai-je bien entendu, le chien ...
... ? Que dis-tu précisément ?
Antoine ne répondait plus, courbait l’échine, entrait la tête dans ses épaules… Cette sorcière de bonne femme reprit :
- Ah, j’avais cru que tu avais osé parler, disait-elle à Antoine … Franck, tu diras à Marianne qu’il faut lui administrer double dose aujourd’hui, sans oublier les électrodes sur ses couilles…
Antoine pleurait… manifestement, il n’en pouvait plus… Il semblait dévasté, son corps ravagé, il n’était plus maitre de sa forte libido poussée à l’exagération à en devenir une véritable bombe sexuelle, à faire de lui un reproducteur poussé à saillir sans modération, à un viril étalon poussé à copuler en longueur de journée. Oui, le corps ravagé et dévasté par l’abattement et ce trop-plein de sexe. Cette satanée femme évidemment s’en apercevait…
- Souhaites-tu décevoir Monsieur le Marquis, Lui qui fait tant pour toi ? Souhaites-tu qu’Il te répudie, qu’Il t’abandonne, qu’Il te laisse choir ? Souhaites-tu donc ne plus être à Ses pieds, sous Son joug ?, ne plus faire partie de Son impressionnant Cheptel ?.
- Oh noooooooon Madame, non pas ça, je vous en supplie, ce serait la chose la plus terrible qui pourrait m’arriver, Madame Brigitte, répondait Antoine affolé.
- Alors laisse-toi conduire là où nous voulons t’emmener, là où le Maitre exige que tu ailles.
Je revoyais soudainement Antoine se ressaisir, un regain de fierté le ramenait à la vie, certes une vie de soumis, d’esclave asservi, une vie dissolue mais choisie, une vie ...