1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1674)


    Datte: 17/11/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... hoquetais, bavais, pleurais et m’étouffais sur ce pieux brulant, bouche écartelée, il me défonçait ne pensant qu’à son propre plaisir… Le véhicule venait de s’arrêter une nouvelle fois, les portières avant claquaient, peu après celles de l’arrière de la camionnette s’ouvraient ! J’étais détaché et extirpé de cette cage, tenu par les couilles par un homme massif et imposant, jusqu’ici jamais vu. Je me retrouvais très vite à genoux, dans l’humidité, sur un chemin de terre, face à Madame Brigitte, les burnes toujours écrasées entre les doigts comme une pâte à modeler par cet homme. Tout, dans cet instant, paraissait impossible, comme tiré d’un rêve. J’avais le sentiment d’être absorbé par un immense vortex d’émotions noires, de larmes et d’auto-apitoiement. Une spirale d’autodestruction dans laquelle je me laissais emporter pour échapper à la douleur. Il y avait un silence pesant, pendant lequel je sentais le regard de Madame Brigitte de Monsieur Franck se poser sur mon corps vaincu. Madame Brigitte me fixait sans ciller pendant quelques secondes encore, avant de sourire.
    
    - Tu vas être bien sage, salope, n’est-ce pas ?
    
    Tout en parlant, elle avait levé son pied gauche et posé sa semelle boueuse de sa chaussure bien à plat sur ma poitrine. Elle appuyait de tout son poids.
    
    - Tu vas faire exactement tout ce que je t’ordonne, la chienne !
    
    Je restai immobile sur le sol boueux, attendant simplement la suite. Monsieur Franck s’approchait, il se tenait à présent juste ...
    ... au-dessus de moi, m’observant d’en haut, les lèvres entrouvertes, le regard un peu fou, me dominant complètement. A son tour, il levait la jambe et posait sa semelle sur mon épaule, sans trop presser, juste pour me montrer qu’il était là, au-dessus de moi et que j’étais au-dessus. Puis il défaisait, lentement, très lentement la braguette de son pantalon et prenait en main son sexe lourd, un sexe brun et épais parcouru par une veine très visible. Monsieur Franck se branlait au-dessus de mon visage, me fixant sans sourciller. Après quelques allers-retours de sa main sur son sexe, il se penchait en avant, pinçait les lèvres, et un filet de salive dégoulinait depuis sa bouche jusqu’à la mienne. Son crachat tomba sur mes propres lèvres comme une gifle, avant de couler sur mon visage.
    
    - Ouvre ta gueule de chienne !, espèce de salope, m’ordonnait-il.
    
    J’obéissais et laissais sa salive couler à l’intérieur de moi, rejoindre ma langue et descendre dans ma gorge. Elle avait un goût de tabac, un goût d’humiliation et de déchéances, qui répandait dans mon corps des frissons glacés de honte et d’extase. Monsieur Franck, celui qui laissait croire qu’il était le gendre idéal, crachait une nouvelle fois et cette fois-ci son mollard tombait directement sur ma langue, avant que je l’avale.
    
    - Ouvre plus grand, la chienne, lèche-toi les lèvres !
    
    Je fermai les paupières tant mon corps servile frissonnait, tant ma peau était brûlante malgré la boue et l’humidité ambiante, brûlante d’un plaisir ...
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