1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1674)


    Datte: 17/11/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... honteux. Je savourais cette humiliation, en effet, et d’ailleurs cette humiliation allait crescendo… Un coup de pied sur mon épaule de cet homme trapu me faisait m’écrouler au sol. Je me retrouvais alors allongé sur le dos, dans cette herbe détrempée par la pluie qui venait de cesser. Je poussais un cri, surpris par le froid, alors qu’à côté de moi, Madame Brigitte observait la scène avec un regard calme et professionnel. Elle s’approchait de moi lentement, avec un sourire hautain, tout en défaisant la fermeture de son pantalon tailleur, avant de l’abaisser jusqu’à ses pieds. Elle ne portait aucun sous-vêtement, son sexe était rasé lisse et luisant. Je le voyais là, juste au-dessus de mon visage. Cette perverse femme passait alors lentement, très lentement un doigt le long de ses lèvres intimes, y récoltant la sève, avant de se pencher vers moi et de poser ce doigt sur ma bouche, tout en me fixant droit dans les yeux. Je comprenais ce qu’elle attendait de moi. Alors, presque instinctivement, j’ouvrais les lèvres et suçais son fluide, laissant son regard me pénétrer, laissant sa mouille couler dans ma gorge. Peu après, elle s’accroupissait au-dessus de mon visage. Sa chatte humide était juste à quelques centimètres de mes lèvres… Je voyais son ouverture, ses lèvres intimes luisantes, son clitoris bandé. Elle se baissait encore jusqu’à effleurer ma bouche, alors instinctivement, je tirais la langue pour gouter ce sexe imposé à ma cavité buccale. Mais une violente gifle sur mes ...
    ... couilles me stoppait net.
    
    - Non, tu n’es qu’une chienne en devenir… et en qualité de future chienne toujours en chaleur, tu n’as droit qu’aux bites…
    
    Pourquoi alors s’était-elle positionnée ainsi… Si ce n’était pas pour lui lécher sa vulve dégoulinante de cyprine. J’obtenais très rapidement une réponse ! Madame Brigitte positionnait deux de ses doigts autour de ses lèvres, les pressait pour bien les écarter : Puis son urine tiède tombait en un long jet sur ma langue et dans ma bouche, coulant jusqu’au fond de ma gorge. J’ouvrais grand la bouche… L’humiliation avait un goût amer et fort, quelque chose de bouleversant qui me remuait les tripes. J’étais en transe, ne voyant mon passé et mon avenir comme deux parts d’une même logique, une trajectoire menant impitoyablement vers la plus totale des soumissions, vers l’humiliation, la résignation et l’addiction à la dépravation extrême... Peu après je retrouvais ma place près d’Antoine. J’étais de nouveau attaché, comme au départ, par cet homme trapu. Ce qui changeait, c’était qu’il me mettait le sexe bandé au zénith de mon congénère directement en bouche.
    
    - Biberonne salope, tu n’es que bon à ça !, me lançait-il avant de refermer les portes de ce véhicule utilitaire.
    
    Alors, amarré à cette nouille épaisse longue et dure, ancrée en moi, des souvenirs me claquaient au visage… Il me paraissait lointain le temps où j’étais étudiant, où j’étais un fils de bonne famille, où j’entretenais des relations amicales et sociales avec ...