Enurésie
Datte: 09/11/2023,
Catégories:
ff,
poilu(e)s,
vacances,
uro,
init,
lesbos,
BDSM / Fétichisme
Auteur: Lorette, Source: Revebebe
... les caresser, à les embrasser, à les mordiller. C’était la première fois qu’une femme me prodiguait de telles caresses et je dois dire que j’en étais assez gênée. En plus, par-dessus la porte, j’avais l’impression que n’importe qui aurait pu nous voir ! J’étais partagée entre le plaisir qu’elle me prodiguait et la crainte d’être découverte, mais je fermais les yeux pour savourer.
Quand je la sentis descendre le long de mon ventre, fouiller dans mon buisson, poser mes lèvres sur ma vulve, je pris soudain peur :
— Non, s’il te plaît, Natasha, arrête, je t’en prie !
Instantanément, elle s’arrêta, se redressa, me faisant presque regretter d’avoir été aussi prude. Une prochaine fois, peut-être ? Oui, il fallait encore que j’y réfléchisse un peu, mais j’en avais très envie. Nous nous sommes embrassées, un long baiser passionné avec nos langues emmêlées qui m’a laissé toute chose. Au sortir de ce long jeu de bouches, j’ai eu moi aussi envie d’embrasser ses petits seins bien fermes et de les téter un peu. Je me suis même risqué à poser un baiser sommaire sur sa minette.
Nous prîmes soudain conscience que quelqu’un était rentré dans les sanitaires et prenait tranquillement sa douche dans la cabine d’à côté. Nous avons fait de même, un peu stressées par cette présence étrangère à quelques centimètres et, après nous être sagement rhabillées, nous avons pris grand soin de sortir sans nous faire repérer. Ensuite, nous avons récupéré notre linge et sommes retournées ...
... tranquillement à notre tente où nous nous sommes rendormies, mais cette fois-ci dans des duvets bien propres.
Les filles ont dormi jusqu’à plus de midi. Elles étaient rentrées tard dans la nuit et étaient vraiment vannées. Nous avons fini par les réveiller car c’était le dernier jour et nous devions replier les canadiennes. Ensuite, la petite cohorte s’est ébranlée et nous avons repris la route.
Sur le chemin de retour, les filles riaient et plaisantaient et moi je rêvassais. Je repensais à ce long week-end, à tout ce qui s’était passé. J’avais l’impression que rien ne serait plus jamais comme avant, j’avais soudain acquis en maturité, j’avais aussi l’impression de mieux me connaître. J’ai repensé à ma mère, je détestais qu’elle me touche et, en règle générale, je refusais ses baisers. Quant à mon père, d’aussi loin que je puisse me souvenir, il ne m’avait jamais accordé la moindre marque d’affection, il était froid et distant, indifférent à tout ce que je pouvais penser ou ressentir.
Mais cette main qui venait de temps en temps dans la mienne, quand les deux autres ne se retournaient pas, cette main si douce et si aimante, c’est fou comme je l’aimais, mon cœur s’emballait dans ma poitrine à chaque fois qu’elle me touchait et j’espérais.
La semaine qui suivit, je demandai à maman si Natasha pouvait venir dormir à la maison. À 20 ans, j’en étais toujours là ! Aucune copine n’était encore jamais venue passer la nuit chez moi. Aucun copain non plus, et pour cause ! Ma mère en ...