Enurésie - Histoires de Sexe

Enurésie

... trouvais sinon jolie, du moins quelque peu « troublante »). Moi, avec mes deux gros seins en poire, je ne ressemble vraiment à rien.
— Laisse-moi en juger. Pourquoi tu ne te mets pas, toi aussi, à l’aise ? me demanda-t-elle vraiment très décontractée.

Tout simplement parce que je ne me sentais pas bien dans ma peau, parce que je n’aimais pas mon corps, parce que j’avais honte de moi.

— Tu es vraiment très pudique, me reprocha-t-elle gentiment.

D’ordinaire, je ne m’intéressais pas à la nudité des filles. Mais de voir ma copine complètement nue près de moi, cela dépassait la simple « curiosité », j’étais même quelque peu « troublée », peut-être pas sexuellement, mais au moins dans ma tête. Surtout en regardant son petit sexe que je trouvais tout mignon avec si peu de poils.

— Tu ne vas pas te moquer de moi ? demandai-je parce qu’elle insistait pour que je me déshabille.
— As-tu l’impression que MOI que tu connais maintenant un peu, je pourrais me moquer de toi ? demanda-t-elle en retour.

Pour lui faire plaisir, je dégrafai timidement mon corsage et mis encore plus de temps à ôter mon soutien-gorge pour libérer mes longs seins blancs.

— Ils sont vraiment très beaux, constata-t-elle, admirative.
— Bah, moi je préférerais les tiens !
— On échange ?

J’éclatai d’un rire nerveux.

— Moi j’aimerais bien.
— Hihi, on n’aime jamais ce qu’on a. Et le bas ?
— Quoi, le bas ?
— Tu peux l’ôter aussi…
— Oh non, j’ai vraiment trop la honte !
— Mais pourquoi ...

... ?
— Déjà parce que j’ai des jambes horribles… et…
— Et ?
— Et aussi parce que je suis très poilue.
— Ce n’est pas grave tout ça, je ne vais pas te juger.
— Regarde, toi tu as un beau petit sexe avec juste quelques poils discrets, moi je ne suis malheureusement pas comme ça, mon sexe n’est pas petit et des poils j’en ai à revendre.
— Chacun est comme il est, tu ne crois pas ?

Elle insista tellement que je finis par retirer aussi mon jean avant de lentement baisser ma culotte. Mis à part ma mère et mon médecin traitant, personne ne m’avait encore jamais vue dans cette tenue.

— Tu es vraiment une très belle femme, conclut mon amie et je vis dans ses yeux qu’elle le pensait vraiment.
— Avec des jambes horribles…
— Et si l’on réunissait nos deux duvets pour dormir l’une contre l’autre.
— Dormir toutes nues ?
— Oui, toutes nues, ce serait chouette, ça te choque ?
— Oui, un peu.
— Allez, viens, aide-moi. Tu vas voir comme c’est agréable.

C’est ainsi que nous nous retrouvâmes dans le plus simple appareil serrées l’une contre l’autre, à nous faire des petits bisous. C’était la première fois pour moi. Mais je pense qu’elle, de son côté, l’avait déjà fait maintes fois.

— Tu n’as jamais fait de câlins avec une fille ? me demanda-t-elle, alors que je retirais fermement ses doigts qui s’étaient posés sur mon téton.
— Je n’ai même jamais fait de câlins avec qui que ce soit !

Ses yeux s’écarquillèrent et je pus y lire la surprise. Elle devait penser que j’étais ...