Enurésie
Datte: 09/11/2023,
Catégories:
ff,
poilu(e)s,
vacances,
uro,
init,
lesbos,
BDSM / Fétichisme
Auteur: Lorette, Source: Revebebe
... beaucoup plus délurée que ça, mais ce n’était pas le cas. Et quand je lui avouai plus tard qu’en plus je ne me caressais quasiment jamais, elle fut carrément estomaquée.
De mon côté, je compris tout de suite qu’elle désirait beaucoup plus que ces quelques baisers : j’avais beau être pucelle, je n’étais pas nunuche ! En soi, je n’étais pas contre, mais je ne me sentais pas du tout prête, déjà c’était très bien pour moi que l’on soit nues dans les bras l’une de l’autre et que l’on se bécote. ¨Pour le reste, il faudrait qu’elle soit patiente et je m’évertuai à lui faire comprendre. Mais elle fut vraiment extra, très respectueuse, ne me forçant en rien, très à l’écoute des limites que, pour l’instant, je m’étais fixées.
Et cette nuit fut un réel délice, une des meilleures de mon existence, nos corps nus et chauds tendrement enlacés et cette avalanche de baisers sucrés qui me rendaient folle. Les minutes s’égrainèrent, les heures s’égrainèrent. Pour la première fois de ma vie, je me sentais comprise et aimée. Mes pensées vacillaient, étais-je en train de tomber amoureuse ? Je crois bien que je m’endormis en prononçant le prénom « Natasha », ce qui voulait tout dire.
*************
Le lendemain, panique à bord. Lorsque je me réveillai, nous nagions toutes les deux dans la pisse. Pas étonnant avec tout ce que j’avais bu la veille au soir. Natasha avait les yeux grands ouverts et elle me regardait avec énormément de tendresse, de quoi me rassurer. Alors que j’essayais de ...
... m’extraire du duvet, elle m’en empêcha, elle fit « chut » avec son doigt et me dit tendrement à l’oreille :
— Sois cool, calme-toi, il n’y a aucune raison de paniquer, je t’aime… Laisse-toi aller et laisse-moi faire.
Sur ce, elle vint sur moi, se mit à califourchon sur mes cuisses et il ne fallut que quelques secondes pour que je sente un liquide chaud inonder mon bassin et le bas de mon ventre. Putain, elle avait osé, elle était en train de me pisser dessus et pas qu’un peu, elle y allait de bon cœur et vida entièrement sa vessie sur moi.
Puis elle s’allongea de nouveau à mes côtés et me susurra à l’oreille :
— Comme ça, nous sommes quittes, ma puce !
Et elle me crédita du plus beau des sourires. J’éclatai alors de rire après cette bonne farce, les autres, furax, se mirent à grogner dans la tente d’à côté.
— T’as encore de la monnaie pour le sèche-linge ?
Nouveau fou rire.
— C’est bientôt fini votre bordel, intervint Isabelle. On veut dormir, nous !
Autant dire que nous eûmes du mal à nous calmer.
Nous voici de nouveau parties, au petit matin, pour laver notre linge trempé de pisse. Tandis que la machine à sécher tournait, ma copine me proposa d’aller prendre une douche. Pas question, cependant, que je fasse douche à part, elle m’attira avec elle dans une cabine et entreprit de m’y déshabiller, prenant cette fois-ci tout son temps pour détailler mon anatomie. Mes seins lourds furent, en particulier, l’objet de toute son attention. Elle se mit à ...