Vague scélérate
Datte: 24/10/2023,
Catégories:
ffh,
vacances,
voyage,
bateau,
Oral
pénétratio,
aventure,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... électrique fonctionnant parfaitement, je me dis que peut-être je pourrais me lancer dans le démontage des téléphones portables. Mes petites mains et la pointe d’un couteau pour tournevis, je démonte totalement le mien. Nettoyage de tous les composants et rinçage à l’eau douce, soleil et alizé se chargent du séchage. Remontage très, très laborieux, pas facile. Idem en ce qui concerne mon « multi-chargeur » retrouvé dans mon bagage, si pratique en voyage et qui me permet de tenter une recharge en tirant deux fils sur la batterie douze volts. Le lendemain matin, miracle ! L’écran s’allume, le smartphone a l’air de fonctionner. Mais évidemment, pas de réseau. Juste de quoi écouter quelques morceaux de musique enregistrés. Ce n’est pas grand-chose, mais ça fait plaisir au bout d’un mois hors de toute civilisation. Et puis je prends quelques photos de notre campement, de l’épave, des paysages et bien évidemment de mes deux beautés qui posent nues, sacrés souvenirs. Inutile de tenter quoi que ce soit avec la radio du bord, mes pieds ont dû l’exploser quand j’ai été projeté sur le tableau. Elle est en miettes.
Les recherches sont forcément activées maintenant, mais les jours passent sans que… rien ne se passe. Mine de rien, nous vivons aux aguets, mais nos oreilles ne perçoivent que le fracas lointain des vagues sur la barrière de corail, le bruit des feuilles agitées par l’alizé et quelques cris d’oiseaux. Au quarante-cinquième jour, ce n’est pas le désespoir qui nous gagne, ...
... mais une sorte de fatalisme teinté d’un peu de découragement. Nous assurons le minimum vital, mais notre principale activité, en même temps très récréative, est de faire l’amour, ensemble ou séparément. Les blessures de Frane sont bien cicatrisées et ont presque disparu, elle peut se baigner sans crainte et s’exposer un peu au soleil. Disons qu’elle y prend moins garde et devient légèrement halée, continuant toutefois à préférer l’ombre. Laura quant à elle est intégralement dorée, couleur de pain d’épice, ce qui met en valeur sa toison blonde, c’est très joli. Elle avait le matériel, mousse et rasoir, pour se « faire le maillot », elle me l’a donné pour que je puisse une fois par semaine tailler ma barbe et raser mon cou. Je voulais me raser complètement, comme avant le naufrage, mais Francesca m’a demandé de garder une barbe courte qui, paraît-il avec ma peau cramée, me donne un air de baroudeur très à son goût. Je me rase donc avec un peigne interposé entre peau et rasoir.
Il faut attendre le cinquante-sixième jour. Nous sommes en train de nous livrer à notre passe-temps favori sous la tente. Mes deux belles sont à genoux sur les matelas, m’offrant côte à côte leurs jolis culs dressés. L’un couleur de caramel au beurre salé, dur, serré, mais ouvert aux caresses et pénétrations, l’autre large, blanc, à la vulve saillante. Quel bonheur absolu ! Je les enfile alternativement fourrageant l’autre de ma main libre. Soudain, un vrombissement vient de l’est et enfle au fil des ...