Une journée lubrique
Datte: 23/10/2023,
Catégories:
fh,
extracon,
voisins,
fépilée,
hotel,
amour,
BDSM / Fétichisme
Oral
québec,
amouroman,
Auteur: Rb07, Source: Revebebe
... tendrement son clitoris. Cela me semblait être un objet fait d’un seul bout de métal plié, poli, délicatement accroché à son sexe. Elle sentit bien l’incrédulité qui me gagnait, alors que je tentais de me représenter ce petit objet espiègle. Je le parcourrai plusieurs fois sur toute sa longueur, en prenant un malin plaisir à m’attarder longuement et à chaque passage sur cette boucle qui bordait son petit bouton si attirant. Ces majestueuses coquetteries, les soins qu’elle avait mis à rendre son sexe encore plus désirable qu’il ne l’était déjà, me donnaient l’envie de lui rendre hommage très rapidement.
— J’ai de la compagnie, on dirait. Tu me permets que j’y jette un œil ?
Je n’obtins en réponse que des lèvres posées dans mon cou et ses mains qui, placées autour de ma mâchoire, m’invitaient à descendre plus bas. Je me laissai glisser contre elle, m’écartant les genoux pour m’affaisser, pour approcher mes yeux de cet objet intrigant et de son sexe qui m’attirait plus que jamais. Des mains, je conservai sa robe bien haute, pour lui dégager les hanches. La dentelle – rouge elle aussi – me laissa entrevoir la couleur de sa peau à travers ses interstices. J’y posai les lèvres, pour signifier mon appréciation de cette merveilleuse œuvre d’art textile, étirai la langue pour toucher le duvet de son épiderme, qui m’était offert derrière cette barrière qui n’en était pas une. Ma curiosité eut rapidement raison de mon appréciation esthétique, et je fis glisser sa culotte sur ses ...
... jambes, jusqu’à ses souliers, que je lui fis contourner. Quand elle fut bien libérée des talons et des sangles, je la mis de côté au sol puis ramenai mes yeux au niveau de son pubis.
Dans tout mon champ de vision, il n’y avait que le teint mielleux de sa peau, sans aucune trace noirâtre caractéristique des poils que j’étais habitué d’y retrouver. Si ce n’était ce petit « Encore » tatoué à l’intérieur de l’aine, et qui n’avait de cesse de m’inciter à lui offrir tout de mon être, vu de si près la scène me semblait presque indécemment juvénile. Pourtant, en regardant plus haut, je vis le visage d’une femme, une femme magnifique, qui avait quelques années de plus que moi (combien, je ne le savais pas). Quand nos regards se croisèrent, elle esquissa un sourire puis elle inclina sa tête vers l’arrière, l’appuyant sur la porte de la chambre en expirant un long soupir. Je compris dans ce geste d’abandon l’invitation qu’elle me lançait. J’approchai mes lèvres de son sexe. Elle le poussa imperceptiblement vers moi. J’y collai mes lèvres. Dans ce geste que je commençais à lui connaître, elle vint placer ses mains sur mes tempes en signe de consentement à ce qui risquait fort probablement de suivre.
Après l’avoir exploré de mes doigts, j’envoyai ma langue en éclaireur pour mieux détailler ce petit bijou très coquin dont Sophie s’était parée. Je sentis les deux fines barres métalliques qui enjoignaient délicatement ses lèvres. À peine avais-je tenté de mieux me le représenter qu’il ...