1. Copine d'avant


    Datte: 15/10/2023, Catégories: fh, extracon, copains, Oral pénétratio, extraconj, Auteur: Arpenteur, Source: Revebebe

    ... et leurs voix portaient fort, c’est ça qui m’avait réveillé. Je me sentais comme engourdi, les muscles endolori et j’eus beaucoup de mal à faire un geste.
    
    Lorsqu’enfin je me retournai, Maryse était à mes côtés. « Maryse », comment était-ce possible ? En plus, elle était allongée complètement nue sur le lit, comme l’était tout à l’heure Ursula, ce qui n’était pas dans ses habitudes. En la voyant, j’ai frisé la crise cardiaque. Étais-je toujours dans mon rêve ? Allais-je me réveiller ? En plus, elle me fixait avec ses grands yeux globuleux de grenouille, impossible que ce ne soit pas elle ! Il n’y avait qu’elle pour avoir de tels yeux.
    
    — Tu m’as bien léchée, avoua alors ma compagne, des années que je n’avais pas eu droit à ça.
    
    Des années aussi qu’elle me cassait les burnes avec sa frigidité !
    
    Elle n’était même pas en colère, comme s’il ne s’était rien passé. Je me serais attendu à des reproches style« Qu’est-ce que tu foutais avec cette pétasse ? ». Mais peut-être n’avait-elle rencontré aucune pétasse !
    
    Sa poitrine un peu molasse, deux œufs sur le plat lorsqu’elle était allongée, était aussi reconnaissable, de même que les bourrelets adipeux de son ventre, nul doute, il s’agissait bel et bien de ma compagne. Son grain de beauté sur la fesse gauche acheva de le confirmer.
    
    — En tout cas, tu avais une sacrée dose de sperme en réserve, affirma-t-elle en désignant le foutre séché qui ornait ses tétons.
    
    Putain, oui, il y en avait une sacrée dose… J’avais juté ...
    ... tant que ça ? Comment avais-je pu me fourvoyer ainsi ? Comment avais-je pu baiser Maryse en croyant baiser Ursula ?
    
    Et aussi, quel changement, ma compagne d’ordinaire si prude, étalée sans pudeur complètement nue sur le lit, et surtout parlant de sexe, elle qui d’habitude ne supportait pas les allusions grivoises…
    
    Il y avait vraiment quelque chose qui clochait. J’ai aussitôt repensé au vin cuit :
    
    — La salope, elle m’a drogué.
    
    Maryse m’a regardé, interrogative, sans visiblement comprendre de quoi je voulais parler. Son regard exprimait de la bienveillance et de la sérénité, tout le contraire d’une femme qui vient juste de s’apercevoir qu’elle a été trompée.
    
    — Mais que faisons-nous ici ?
    — C’est un petit hôtel que nous avons réservé pour le week-end, tu ne te rappelles pas ? Un petit séjour pour nous retrouver. Tu as promis qu’on resterait enfermés pendant trois jours et que tu en profiterais pour me faire l’amour.
    
    Des années que je n’étais plus attiré par cette femme, on restait ensemble juste par commodité. Des années aussi qu’elle ne s’intéressait plus à moi. Alors pourquoi ce week-end en amoureux ? Nous n’en avions jamais discuté, j’en étais certain, nous n’avions jamais évoqué la nécessité de recoller les morceaux. Ou alors je perdais complètement la boule. Comment avais-je pu faire une telle proposition ?
    
    Mon regard se posa sur le préservatif usagé qui traînait sur le tapis.« Et pourquoi j’aurais mis une capote pour baiser ma légitime ? ».
    
    Je me ...
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