Copine d'avant
Datte: 15/10/2023,
Catégories:
fh,
extracon,
copains,
Oral
pénétratio,
extraconj,
Auteur: Arpenteur, Source: Revebebe
... fausse pudeur.
Vaste programme pour un quinquagénaire comme moi pour qui la concubine était devenue, au fil des ans, un véritable tue-l’amour. Avec Maryse, il ne se passait pratiquement plus rien. Le fait de tomber enfin sur une femme qui avait d’emblée envie de sexe excita mon imaginaire et me convainquit d’entamer une correspondance suivie avec elle. Plusieurs fois dans la journée, je lui envoyais des mails auxquels elle répondait la plupart du temps dans la foulée, comme si elle n’avait que ça à faire. Et pour cause, elle ne travaillait pas.
Son truc à elle c’était de fouiller dans son lointain passé pour retrouver les garçons qu’elle avait croisés à l’époque. Elle était inscrite dans la liste de toutes les écoles qu’elles avaient fréquentées, primaires, secondaires puis plus tard BTS, après un court passage à l’université et elle discutait volontiers avec toutes les anciennes connaissances qui en avaient envie. Pourquoi un tel retour vers le passé ?
Puisqu’elle avait tellement envie de faire l’amour, elle aurait sûrement pu trouver dans son entourage des hommes libres et abordables. Alors, pourquoi chercher la complication et se soumettre au verdict d’un temps largement révolu ?
J’essayai un peu de la tarabuster, mais elle n’avait manifestement pas trop envie de s’étendre sur son existence ni de justifier ses choix. Elle me dit simplement que son passé était pour elle une source riche en fantasmes. Je l’imaginais tout à fait avec ses envies insatisfaites de ...
... jeune adolescente.
— Et tu penses parfois à moi ? Qu’est-ce que je t’inspire ? ai-je demandé par curiosité.
— Si je n’avais pas été si cruche à l’époque, j’aurais peut-être pu te dérider. J’ai toujours rêvé d’être la première pour un garçon un peu coincé, d’être son initiatrice. Peut-être que si je m’étais arrangée pour te dévoiler discrètement mes charmes, mais sans te brusquer, en ayant l’air de rien… Qui sait !
— C’est vrai que j’étais vraiment un boulet. J’étais du genre à mater discrètement mes copains quand ils pelotaient les filles, surtout celles qui avaient pas mal de poitrine… en particulier la grosse Monique, parce qu’elle avait des formes opulentes et qu’elle était tellement nunuche que ça faisait d’elle une fille facile. Tout le monde la tripotait, excepté moi, je crois bien.
— Ça ne m’étonne pas, c’est bien l’impression que tu donnais, celle d’un garçon handicapé par sa timidité, qui rasait les murs et regardait ses pieds. Mais si je t’avais montré un bout de sein, un entrecuisse, nonchalamment et sans en avoir l’air, ça t’aurait peut-être émoustillé…
Au fil du temps, nos missives prirent un tour de plus en plus sexuel. Ursula voulait comprendre ce qui m’excitait et je lui ouvris très rapidement les portes de ma boîte à fantasmes. Mes mails, au départ très soft et pleins de retenue pour ne pas affoler la bête, devinrent peu à peu de plus en plus crus et souvent limites vulgaires. On n’y parlait que de bites, de chatte, de foutre et d’enculages. Il faut ...