Fliquette ou voyouse ?
Datte: 02/10/2023,
Catégories:
ff,
inconnu,
bizarre,
caresses,
Oral
lesbos,
Auteur: Lorette, Source: Revebebe
... photo sur laquelle je reconnus de suite les bijoux. J’étais de plus en plus inquiète. Craignant d’avoir à mon tour des problèmes, je lui montrai la télé et le micro-ondes :
— C’est elle qui a acheté ça, j’espère qu’elle ne les a pas volés.
— Nous allons vérifier… Mais, ne vous inquiétez pas, ça se voit que vous êtes de bonne foi, vous n’aurez aucun problème, ajouta-t-il pour essayer de calmer ma fébrilité.
La petite fliquette prit néanmoins des photos.
— Au pire, vous serez peut-être amenée à les restituer, me dit-elle avec une petite voix toute emprunte de gentillesse, assortie d’un large sourire.
Putain, qu’est-ce que je l’aimais, elle aurait presque pu m’emmener en taule, me passer les menottes, me faire une fouille au corps, de sa part j’aurais tout accepté.
Ensuite, les deux flics, qui n’avaient plus grand-chose à me demander, prirent congé, à mon grand regret.
— On vous demandera sans doute de venir faire votre déposition au poste, annonça le vieux flic.
— En tout cas, vous revenez quand vous voulez, ai-je répondu, enjouée, à destination de sa jeune collègue, maintenant vous savez où j’habite, je peux même vous laisser mon numéro de téléphone.
Elle le nota sur un carnet en me créditant du merveilleux sourire qui faisait tout son charme.
— Très bonne journée, madame.
— À très bientôt j’espère, ne pus-je m’empêcher d’ajouter.
Je ne connaissais même pas son prénom ! Mais elle me rappela quelques heures plus tard :
— Rebonjour, Lorette, ...
... c’est bien Lorette ? Moi c’est Sabrina… tu sais je suis venue ce mat…
— Oui, je sais qui tu es, Sabrina.
Ce prénom résonnait agréablement à mes oreilles, en plus elle me tutoyait, son appel n’avait donc pas de caractère professionnel.
— Je me demandais si tu serais libre ce soir pour boire un verre.
— Oui, bien sûr, me suis-je empressé d’accepter. Tu pourrais même venir chez moi, on serait plus tranquilles, ai-je proposé.
— D’accord, ça me va… et j’amène quoi comme boisson ?
— Ce que tu veux, ma belle… et surtout ton délicieux sourire.
— Ça promet ! Moi aussi j’ai envie de toi, avoua-t-elle sans ambages. Dans une petite demi-heure, je peux être chez toi.
— Viens, dépêche-toi, je t’attends.
La porte à peine franchie, nous nous sommes jetées l’une sur l’autre et embrassées avec passion et il ne nous fallut pas beaucoup plus de temps pour nous retrouver entièrement nues sur la banquette. Déjà nous nous explorions avec ce mélange de désir et de fébrilité. L’amour dans l’urgence pour rassasier notre envie d’être ensemble. Nous avons continué toute la nuit à nous faire jouir jusqu’à plus soif.
Et au petit matin :
— Putain, merde, il faut que j’y aille, je vais être en retard.
Nous nous sommes embrassées à nouveau avec beaucoup de tendresse.
— On se revoit ce soir ?
— Oui, si tu veux, mais tu viens chez moi, je ne peux pas faire garder mon fils deux jours de suite. (Elle me nota l’adresse sur un petit bout de papier)
C’est ainsi que j’appris qu’elle avait ...