Reprise des débats
Datte: 02/10/2023,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
campagne,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
caresses,
Oral
69,
fouetfesse,
piercing,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... à mes pieds. Sa langue passe sur l’une et l’autre de mes cuisses pour recueillir quelques gouttes égarées puis remonte vers mon pubis dont elle fouille soigneusement les poils à la recherche d’une humidité suspecte, mais elle évite tout aussi soigneusement de toucher à mes lèvres. C’est frustrant !
— Tu oublies ma chatte, idiote ! Nettoie-la. Je ne veux pas qu’elle reste souillée de ta pisse !
Que m’a-t-il pris ? Je l’ai giflée en commençant ma phrase… Un geste non prémédité, qui m’a paru aller de soi, sur le moment, alors que ma chatte, je le sais, n’est salie que de ma mouille. Colette s’exécute sans récriminer, elle n’a même pas tressailli à ma gifle. Et elle me nettoie bien : fente, nymphes, lèvres, bouton, tout est léché, lavé, récuré… Puis, plus rien.
Colette s’est arrêtée, le nez sur mon clito. Elle semble attendre. Mais quoi ? Une nouvelle réprimande ? Que je la prenne par les cheveux ? Ils ne sont pas assez longs pour que ce soit amusant… Je dois pourtant jouer mon rôle de domina… Ah ! Une autre idée… Je consens à me pencher, à allonger les bras jusqu’à pincer ses tétons, et me redresser en entraînant ses seins qui s’étirent, la forçant à suivre le mouvement. Je ne suis pas mécontente de moi.
— Paresseuse ! Tu me fatigues, dis-je dédaigneusement. Occupe-toi de mon ventre et de ma poitrine, maintenant !
J’ai toujours ses bouts de sein entre mes doigts, je les serre à la jonction des tétons et des mamelons. C’est là que ça fait le plus mal quand on ...
... écrase durement, pour moi en tout cas. Ou alors, tout à l’extrémité de la pointe…
Je teste. J’alterne pincements et relâchements, je glisse de la base au bout, je me règle sur les soupirs ou les gémissements. Les tétons sont durs et se vrillent volontiers. Les mamelons sont chauds, je sens les pulsations du sang sous la pulpe de mes pouces.
Je garde mes mains immobiles et jointes, au début. J’oblige Colette à tirer sur un sein ou sur l’autre dans sa chasse aux traces de son urine d’un côté ou de l’autre de mon buste. Puis, c’est moi qui la guide, lui indiquant par tractions sur ses tétons les endroits où je veux qu’elle officie. Je l’attire sur mon sein gauche, elle le tète. Je la renvoie sur le droit, elle l’aspire. Il y a belle lurette que les éclaboussures de sa pisse ont disparu. Ma peau ne brille plus que de sa salive. Mais je prolonge le jeu : c’est comme diriger un cheval avec les rênes.
Janine doit avoir eu la même image en tête. Elle me tend une paire de longues chaînettes et me montre comment manipuler les pinces à molette qui les terminent. C’est pour remplacer mes doigts sur les tétons. Bien pratique ! J’hésite quand même un peu à forcer sur le serrage mais Janine n’a pas mes scrupules. Deux gémissements plus tard, les bouts de sein de Colette sont aussi aplatis que des becs de canard. Amusant, quoique pénible pour elle.
— Tiens, ajoute-lui donc ces bijoux, me suggère Bénédicte en présentant deux lourds anneaux dorés.
Je reconnais les créoles qui avaient ...