1. Reprise des débats


    Datte: 02/10/2023, Catégories: fff, fagée, jeunes, campagne, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation caresses, Oral 69, fouetfesse, piercing, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... minutes plus tard, l’obligeante copine nous présente un pulvérisateur de parfum aux trois quarts emplis d’un liquide doré dégageant une puissante odeur aromatique. L’étiquette porte un nom compliqué à retenir mais affiche clairement un titrage de 90% d’alcool.
    
    — Veux-tu bien dévisser le bouchon avant de verser, sollicite suavement Martine.
    — Ah non ! Pas comme ça !
    
    Le cri du cœur de Colette s’est affranchi des fesses qui couvrent encore sa bouche et ses bras se débattent sous les cuisses qui les contraignent. Les mains de Bénédicte et de Andréa se chargent sans délai de mettre un terme à ces velléités de révolte, tandis que se poursuit la distribution de consignes.
    
    — Chantal et les filles, tenez-lui bien les jambes, nous est-il demandé. Toi, bouffe-moi ! Ça t’occupera, est-il conseillé à la victime. Tu peux y aller, est-il enfin accordé à l’assistante.
    
    Martine est une parfaite organisatrice !
    
    Janine penche le flacon au-dessus du vagin ouvert. Les émanations de l’un et de l’autre se mélangent, largement à l’avantage du premier dont l’arôme agressif domine les exhalaisons sexuelles. Légère hésitation, temps suspendu avant qu’un rapide geste de poignet n’en répande le contenu dans la conque béante…
    
    L’effet du révulsif n’est pas immédiat. Une seconde, deux peut-être, après qu’il ait investi la vulve, les doigts de Colette se crispent, ses genoux tremblent, son bassin se projette en l’air. Tout son corps gigote tandis qu’un double feulement de jouissance ...
    ... s’élève, libre et clair dans la bouche de Martine, étouffé et contraint dans son cul. Puis, le calme revient, les hanches de la soumise retombent. Un liquide huileux macule les poils d’un pubis frémissant encore des spasmes vaginaux.
    
    Martine se relève et libère la bouche luisante de Colette de l’emprise des fesses. Elle libère aussi de sa prise les larges nymphes qui retombent, deux nénuphars fanés sur l’huile du tableau. Les deux femmes reprennent haleine, souriantes, satisfaites et comblées. Une nouvelle plainte, vagissement plutôt, s’échappe des lèvres de la seconde quand son sexe refermé dégorge son trop plein sur le périnée et l’anus. Alors elle se tait, de plaisir et souffrance repue.
    
    Colette, enfin, se redresse à moitié. Entre ses cuisses ouvertes, une tache s’étale et s’élargit. De brusques frissons la parcourent encore par à-coups, faisant vibrer les gouttes de sueur sur ses seins et son ventre. Pourtant, une expression heureuse éclaire son regard lorsqu’elle s’adresse à moi :
    
    — Ai-je le droit de vous servir, maîtresse Chantal ?
    
    Curieuse impression d’être respectueusement priée dans les formes dont on usait soi-même et humblement… Je n’en saisis pas tout de suite l’objet de sa demande. Quand je le réalise, je prends ma respiration avant de me lancer d’une traite.
    
    — Mets-toi debout, cochonne, si tu veux me lécher !
    
    Ma voix est trop aigue et l’ordre mal formulé, mais la soumise m’obéit. Elle quitte le lit sans lever les yeux sur moi et s’agenouille aussitôt ...
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