1. Reprise des débats


    Datte: 02/10/2023, Catégories: fff, fagée, jeunes, campagne, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation caresses, Oral 69, fouetfesse, piercing, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... entre pleurer de douleur à ses coups et pleurer de joie à ses progrès lorsqu’elle a eu fini sa série. Elle a laissé les touches finales à ma Maîtresse qui n’a pas failli à sa réputation pour m’abandonner les larmes aux yeux, le cul en feu, et la chatte à l’avenant. Un seau d’eau froide a tout calmé. J’ai malgré tout pris l’apéritif debout, et participé au jeu de l’enculette* dans la même position.
    
    Mes fesses sont encore embrasées et communiquent sournoisement cet incendie à mon bas-ventre pendant que j’observe la gagnante et la perdante de la partie, enlacées sur le même lit dans cette chambre d’amies qui accueille notre repos post-prandial. Martine sera la Reine des prochaines vingt-quatre heures et Colette en sera la Soumise. Ainsi va la vie !
    
    [* Contrairement à ce que ce nom pourrait faire croire aux esprits mal tournés, il s’agit d’un jeu dérivé de la belote bridgée, avec une, deux ou trois cartes par adversaire au choix du donneur, qui vise à désigner le perdant qui paiera la tournée au bistro dans ce pays reculé.]
    
    __________
    
    La perspective de devoir supporter toutes les humiliations et les punitions que ses invitées imagineront ne semble pas préoccuper notre chère hôtesse. La pensée m’effleure qu’elle a fait exprès de perdre… Martine et elle se mignotent avec force sourires complices et sans une once de gêne. Il est vrai qu’ici la pudeur n’est pas de mise, quels que soient les lieux ou les circonstances. Maison ou jardin, voire promenades forestières, ...
    ... comme repas, séances de domination ou moments de repos, chacune partage sa nudité et ses désirs en ne tirant « aucune fierté de ses charmes ni de honte de ses imperfections ». Oui, j’aime bien cette citation qui correspond aux relations égalitaires que nous entretenons, et qui devrait guider d’ailleurs toute relation affective.
    
    Colette et Martine vont s’aimer. La formulation est mièvre, c’est vrai. Je la préfère pourtant au vulgaire « vont baiser ». En réalité, les deux s’appliqueraient. Elles donnent libre cours à leur envie l’une de l’autre dans un échange où l’amour est présent, sans exclusive ni serment d’éternité. Caresses et baisers promènent leurs mains sur leur corps et leur bouche sur leurs seins. Les premières revisitent hanches, cuisses et fesses. Les seconds deviennent tétés et mordillements des mamelons. De tétons en nombril, les têtes glissent vers d’autres lèvres pour un broute-minou mutuel qui émoustille nos yeux de spectatrices bienveillantes.
    
    Colette est dessous, la fourche ouverte à Martine qui chevauche son visage. Aux crispations des orteils, on devine la précision des coups de langue qui fouillent l’entaille offerte. De l’autre côté, les sursauts du cul pointu de la cavalière traduisent la passion des assauts dont profite son intimité. Voyeuses attentives, nous retenons notre respiration de peur de troubler leur tendre besogne. Suçotements mouillés et gémissements étouffés meublent seuls le silence lourd du désir qui nous prend.
    
    Nous ne sommes pas ...
«1234...8»