Reprise des débats
Datte: 02/10/2023,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
campagne,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
caresses,
Oral
69,
fouetfesse,
piercing,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents :
Mon service est fini, ou mon gage pour être précise. En tout cas, ma journée de soumission est terminée. J’en retire des sentiments mélangés de profondes satisfactions et de questions prégnantes sur ma véritable nature.
Je me croyais hétéro, sans goût pour le masochisme. J’ai découvert la bisexualité et le plaisir de la honte. J’ai accepté l’ambivalence sexuelle, mais pour me sentir maintenant de plus en plus attirée par son seul versant saphique. J’ai cru à une simple inclination pour une aînée du même sexe, et je me suis prise de passion pour une benjamine. Je ne voyais dans l’amour qu’un unique objet qui en soit digne, mais j’ai transigé pour en admettre deux, puis trois, et me retrouver finalement à en envisager la multiplication à toutes mes compagnes.
Qui plus est, cerise sur le gâteau ou orties sur les fesses, je me suis surprise à calculer les divers tourments que je pourrai leur infliger quand viendra mon tour de les dominer. Parce que j’y compte bien, voyez-vous. J’en conçois par avance des délices comparables à ceux de l’humiliation. La Chantal d’il y a six mois s’en alarmerait, celle d’aujourd’hui s’en délecte. N’y a-t-il pas là de quoi chambouler une honnête femme au foyer au mitan de sa quarantaine ? Eh bien non, figurez-vous. Elle regrette tout bonnement le temps perdu ! Nous sommes peu de chose…
Mais foin de questionnements et d’introspections sauvages ! Je repousse tout cela aux calendes grecques, il sera ...
... toujours temps alors de m’en inquiéter. Pour l’instant, c’est celui de la sieste qui réunit nos huit corps nus dans la « chambre d’amies » de Colette. Une pièce que l’on peut aussi appeler « le Donjon de la Maîtresse » puisque notre hôtesse l’a dédiée à ces deux destinations. Elle est assez vaste et aérée pour nous donner une impression de fraîcheur aux heures les plus chaudes du jour.
Hier, nous les avions passées dans la pénombre du petit salon, contrevents fermés. Mais je les ai laissés ouverts ce matin, coupable négligence dans mes devoirs ancillaires. C’est donc une punition qui a ponctué la fin de mon travail, juste avant le repas. J’ai dû écarter les couverts sur la table que je venais de dresser pour me pencher dessus, les seins écrasés sur le bois brut, et offrir mes fesses, aussi nues que le reste, à une fessée bien méritée.
Ma Maîtresse Colette a fait preuve d’indulgence : je n’ai été condamnée qu’à dix claques, cinq sur chaque hémisphère de mon popotin, par personne, bien entendu. Une bonne septantaine de paumes, au bout du compte, qui sont venues enflammer ma partie charnue. Celles de Anaïs ne m’ont pas fait grand mal, plus de bruit que de sensations. Mais les amies de Colette ont une technique bien rodée, leurs claques cinglent comme quatre cravaches. La peau me cuisait déjà suffisamment lorsque Marie a suivi leur exemple avec une louable application…
Quand je pense que cette gamine n’osait même pas m’embrasser sur la joue en revenant chez moi ! Je balançais ...