Isabelle en balade - Histoires de Sexe

Isabelle en balade

... défilent. Entretemps, nous croisons quatre véhicules dans lesquels il se passe des choses amusantes, ce qui fait bien rire ma compagne. Arrive doucement l’heure du midi, où il convient de se sustenter. Comme j’ai bien arrangé mon coup, nous arrivons bientôt sur une aire de repos avec un restau routier qui est plutôt bien. J’en informe ma passagère :

— Bon, on s’arrête dans peu de temps. Et bien que je te préfère les fesses à l’air, remets ta jupette !
— Ah bon ? Monsieur a peur du qu’en-dira-t-on ?
— Oh non ! Je serais très fier d’exhiber ma bonne fortune. Mais il y a parfois des représentants de l’ordre sur place, sans parler de tous ces routiers qui ont des smartphones…

Isa fronce des sourcils :

— Pour les flics, je comprends, mais pour les smartphones, je ne pige pas…
— Si tu veux être mitraillée par les smartphones et mise ensuite sur Internet en long, en large, en travers, tu peux sortir cul nu.
— Ah oui… euh, je veux dire « ah non » !

Elle s’habille aussitôt. Tandis qu’elle est occupée, j’en profite pour peloter allègrement ses seins. Étonné par ce que mes mains viennent de découvrir, je m’exclame :

— Je rêve ou t’as mis un redresse-seins ?
— Tu ne rêves pas, Mimi…

Quelque temps après, nous entrons dans le restau. Je constate que certaines paires d’yeux suivent les courbes de ma compagne. Ce qui m’amuse et me flatte en même temps. Eh oui, je ne suis qu’un homme…

En découvrant le buffet, ma passagère me glisse :

— C’est plutôt la quantité ...

... que la qualité, ton restau, Mimi.
— Il faut du roboratif pour les routiers !
— Comme tu causes bien !

Le repas fini, nous reprenons la route. Et bien sûr, Isa enlève illico sa jupe, et moi, j’apprécie pleinement le spectacle qu’elle m’offre. Tout en la matant allègrement, je continue à défiler mes anecdotes, Isabelle m’écoute avec amusement, riant souvent aux éclats, prenant parfois des poses lascives ou provocantes. Quelques heures passent ainsi, Isa me demande soudain :

— Tu as quelque chose à boire ?
— Oui, tu as un petit frigo, là, oui cette poignée.
— Eh bé, Monsieur ne se refuse rien !
— C’est incorporé dans la cabine, pour éviter que les routiers ne s’arrêtent trop souvent…
— Ah, OK, je vois. Eh, t’as un Schweppes ?

Oh oui que j’ai un Schweppes, il a même été bricolé à ton unique intention, ma chère compagne ! Cette nuit, je suis descendu, j’ai décapsulé une bouteille, versé un petit produit qu’un de mes bons copains m’a rapporté un jour du Portugal, un truc amer à base de cantharide, m’avait-il dit. Puis après avoir mis quelques petits points de colle sur l’anneau, j’ai revissé. Je pense que ça devrait aller. Et ce matin, j’ai glissé la bouteille dans mon mini frigo.

Pourquoi ai-je fait ça ? Parce qu’Isabelle me gave grave avec ses histoires de pute. Si cette boisson pouvait la rendre momentanément un peu dévergondée, je suppose qu’elle serait moins critique par la suite. C’est une façon de faire très vicieuse et pas très… euh… catholique, mais sa ...