Isabelle en balade - Histoires de Sexe

Isabelle en balade

... jalousie me gonfle royalement. J’espère qu’il n’y aura pas de problème…

Justement, tout se passe au mieux, Isa dévisse le bouchon qui fait un crac caractéristique, suivi d’un pschitt, preuve indéniable que j’ai bien œuvré !

— Haaa, ça fait du bien ! Et c’est bien frais en plus !
— Oui, mon frigo est presque un freezer !
— Oui, je vois ça ! Tiens, c’est quoi cette petite bouteille verte ?

Elle me désigne la chose du bout des doigts, je plisse des yeux :

— Ah ça ? De l’huile d’olive.
— Ça fait quoi, de l’huile d’olive dans ton frigo ?
— J’ai récupéré ça lors d’un voyage, et j’ai oublié de la descendre.

Posant son Schweppes dans un réceptacle fait pour, Isa s’empare de la petite bouteille, la regarde sous divers angles, puis constate :

— Pressée à froid, si je traduis bien. Et pas entamée.
— C’est rare de boire de l’huile d’olive, comme ça, à la bouteille !

Elle se met à rire, remettant la bouteille à sa place. Puis du pied, elle ferme le frigo. J’en profite pour glisser ma main entre ses cuisses. Reprenant sa bouteille de Schweppes pour en boire une gorgée, elle proteste mollement :

— Gros profiteur !
— Je ne cherche que ton bien…
— Ah oui ? C’est-à-dire ?
— À te faire jouir !

Bouteille toujours en main, elle s’étonne :

— Là, maintenant ? En pleine route ?
— Bien sûr que oui…

Elle ne répond rien, elle boit une autre gorgée, tandis que mes doigts s’activent dans sa fente. Isabelle se met lentement à vibrer puis à gémir. Elle repose sa ...

... bouteille pour mieux se laisser aller. Elle mouille déjà, alors je continue de plus belle. Sa respiration s’accélère, ses geignements aussi. Soudain, elle attrape mon poignet, le serrant très fort, je continue un peu.

— Aaah ! Aaah ! Oui ! Oui !

Ma passagère jouit sans retenue, broyant mon poignet, étant agitée de mille tremblements.

Soudain, elle chasse ma main, continuant de jouir sans limites, bruyamment. Puis petit à petit, elle s’apaise, sa respiration revient lentement à la normale. Quelques instants plus tard, elle se tourne vers moi :

— T’es un gros pervers, toi !
— Ose me dire que ça t’a déplu !
— On aurait pu me voir !
— On ne pouvait te voir que si un camion nous dépassait à ce moment-là… J’étais sur la première file, celle de droite.

Un peu inquiète, elle demande :

— Et il y a eu des camions qui nous ont doublés ?
— Non, non !
— Ouf !

En réalité, un camion nous a doublés, donc je n’ai pas menti puisque la question portait sur des camions. Le routier a tout vu, il m’a même fait un petit signe avant de continuer à me dépasser. Mais ça, Isa ne le saura pas, du moins, pas maintenant. Je pense qu’elle n’est pas encore prête pour ce genre de jeu que Véro adore faire, aussi bien devant une caméra que devant un public. Isa vide la bouteille puis pousse un grand soupir de satisfaction.

Soudain, elle se penche sur le petit écran du tableau de bord :

— Je suis crevée mais rassasiée ! Au fait, ça fonctionne comment, ton truc ?

Elle se penche ...