Médecine douce pour faiblesse masculine.
Datte: 28/09/2023,
Catégories:
fh,
fhh,
couplus,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
confession,
Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe
... l’origine. En réalité, elle est familiale et remonte au début de mon adolescente. Curieuse et les sens travaillés par ce que je ne savais pas encore être une sexualité naissante j’avais décidé d’espionner mes parents car une copine m’avait parlé de choses étonnantes chez elle. Cet espionnage m’a fait découvrir que ma mère, toujours mesurée et équilibrée dans la vie, devenait une quasi-hystérique avec papa. Ce ne sont pas tant les actes que les paroles qui m’ont marquée. Ils se parlaient, et de façon très vulgaire, très loin de leurs échanges normaux. Mon père traitait ma mère de :Cochonne, salope, pute. et ma mère entrait dans son jeu tout en laissant exprimer très fort son plaisir.
Voilà ce qui me bloquait depuis des années.
******
Nous sommes sur la route du retour. Hugo m’a rendu ma culotte. Elle est une barrière bien légère pour sa semence qui doit « tacher » ma robe.
— Ça va Chérie ?
— Oui, et toi ?
— Tu as pu constater que cela a marché.
— C’est vrai. Cela fait longtemps que tu n’avais pas été aussi… Oh, excuse-moi, je ne voulais pas te rappeler que…
— Cela ne fait rien. Je voulais te remercier d’avoir bien voulu tenter cette expérience. Elle avait raison, sortir de notre zone de confort a été déterminant. De les voir comme cela m’a fait… enfin, tu as pu le constater.
— Oui.
— D’ailleurs, il me semble que toi aussi tu as bien apprécié.
— Je reconnais.
Un silence et je demande :
— Qu’est-ce qu’on fait maintenant ?
— Tu voudrais peut-être qu’on ...
... y retourne.Il tourne la tête vers moi et pose sa main sur ma cuisse. Il sourit, taquin !
— Pourquoi pas ? Non, je plaisante, je parlais plutôt de ce qu’elle voulait que l’on fasse après, une sorte de rapport.
— Pourquoi tu ne veux pas ? Moi je pense qu’il faut le faire, et comme elle dit : chacun de son côté en expliquant bien ce que nous avons ressenti. Après tout, sa première idée n’a pas si mal marché. Mais je nous vois mal la reproduire chaque fois.Il rit. À moins qu’on installe un Mobil home sur place.
— Tu es bête ! Bon d’accord mais je ne veux pas que tu me lises.
— Tu as des choses à me cacher ?
— Oui, plein…
Chacun a reçu dans sa messagerie cette réponse commune. Pendant que je lis, Hugo n’est pas avec moi, il fait du vélo, mais je me doute qu’il a aussi ouvert sa messagerie et qu’il découvre le texte. D’ailleurs, je reçois un SMS.
Je plaisante mais je suis moins assurée que je veux le paraître. Moi aussi j’ai réfléchi. Si sur le parking Hugo s’est réveillé, je n’ai vu pour l’instant qu’un feu follet. Je pensais que de retour chez nous ou bien ce matin au réveil il viendrait vers moi. Mais j’ai bien vu que non et donc que pour l’instant cela n’a été qu’un feu de paille.
Comment le reproduire et surtout comment faire pour que sa libido reste éveillée ? Je ne me vois pas aller chaque fois sur ce parking ou sur un autre. À la longue ce serait glauque.
Mais aussi j’ai bien compris que j’avais été troublée hier soir. Avec le recul malgré ma réticence j’ai ...