Médecine douce pour faiblesse masculine.
Datte: 28/09/2023,
Catégories:
fh,
fhh,
couplus,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
confession,
Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe
... aimé regarder. Et le souvenir de cette femme me hante. Je l’ai même vue en rêve, rêve dont j’ai du mal à me souvenir mais dans lequel sa présence était évidente.
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Il suffit d’une fois pour ne plus être dépaysée. Des voitures, des personnes qui déambulent, la même demi-lune complice, le bruit de l’océan, des voitures éclairées, des voitures fantômes…
Hugo s’est garé plus près des autres que la dernière fois. Nous n’avons pas parlé sur ce que nous envisagions. Je pense que s’il paraît plus assuré que moi, en son for intérieur, il n’en mène pas large. Ce genre de tension n’est pas bonne pour un homme. Mais l’expérience de la veille doit tout de même le rassurer.
Il met en marche l’éclairage intérieur. Cela me rassure, même si c’est à moitié, car cela signifie qu’il n’envisage pas que nous sortions.
Il se penche vers moi pour échanger un baiser d’une tendresse qui me bouleverse. Je sens son amour comme il doit ressentir le mien. D’ailleurs, quelle plus belle preuve pourrais-je lui offrir en acceptant ces jeux ?
— De te savoir toute nue sous ta robe m’excite déjà.
C’est lui qui avait proposé ça. À ma question« Comment je m’habille ? » Il avait spontanément dit avec un petit sourire coquin :« Si tu ne mettais pas de dessous. Juste cette robe, tu sais celle avec les boutons devant ? Elle te va très bien. » C’était plus qu’une proposition et elle sous-entendait qu’il avait une idée de ce que nous allions faire. J’avais accepté. Je verrais bien sur ...
... place.
Il s’éloigne. Quelques secondes et déjà je vois une silhouette se rapprocher. Notre éclairage est comme une lampe qui attire. Ici, tout le monde sait que si un éclairage intérieur reste allumé c’est que les occupants sont encore là avec une idée en tête.
L’homme regarde par le pare-brise. Que voit-il ? Après tout, ce n’est qu’une passagère et un conducteur.
— Tu veux bien dégrafer ta robe. Lentement.
Voilà la réponse. Option exhibition, mais heureusement protégée par une carrosserie et des vitres.
Mais j’hésite. Il sent ma réticence. Il insiste.
— Chérie ! S’il te plaît, pour me faire plaisir. Ne pense pas à ceux qui sont dehors. Pour moi. Je t’aime.
Et en parlant, il prend ma main pour la déposer sur le premier bouton.
Alors je le fais. Bien sûr que je ne peux pas oublier l’homme, non, les deux hommes qui se sont rapprochés. L’un est en face de moi, l’autre sur mon côté.
Oui, je le fais et je me sens plus nue que nue, suivant par le regard de celui qui me fait face, la lente découverte de mon corps. Il sourit lorsqu’il voit que ma poitrine est libre. Il s’avance un peu plus pour se pencher et voir que je ne porte pas de culotte.
Sans qu’Hugo m’y invite, je repousse le tissu.
— Tu es belle. Merci.
Sans qu’il me le demande, sous le regard de ces deux hommes je fais passer au tissu la barrière de mes bras et, en tirant tout en me soulevant, j’enlève ma robe.
Je sens la chaleur du cuir.
Hugo revient vers moi pour m’embrasser à nouveau. ...