1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1675)


    Datte: 27/09/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... ressentie me donnait des frissons. La fièvre m’envahissait lentement, remontait mon torse avant de gagner ma tête pour embrumer mon jugement, pour redescendre ensuite le long de ma colonne vertébrale pour atteindre mes reins qui se cambraient naturellement à l’exhibition.
    
    Cette vague intense continuait son parcourt, amenant mes cuisses à s’écarter d’elles-mêmes puis remontait dans mon entrejambe entrainant une humidité certaine au bout de ma nouille. Pierre m’attachait, la tête et les bras enfermés dans un pilori, le ventre sur un banc court et étroit, les jambes terriblement écartées, avec les pieds au sol, entravés et attachés à de courtes sangles en cuir. Le temps semblait s’être arrêté alors que la douleur se mêlait à l’excitation. Les mains rudes de Pierre contrastaient avec ma peau lisse et sensible, mais toute la force de sa poigne, toute la rudesse dont il pouvait faire preuve à ce moment-là, se transformait inexorablement en excitation. Toute la brusquerie de cet homme se transférait en autant de chaleur et de désirs, alors que mes couilles étaient pétries vicieusement. Et lorsqu’il glissa ses doigts à la base de mon cou, ses énormes mains puissantes glissant d’abord sur mes épaules puis évoluant lentement sur mon dos en direction de mes reins, il m’était alors impossible de retenir mes gémissements. Madame Brigitte nous avait rejoint, elle était là, devant moi, avec deux grosses seringues remplies d’un liquide blanchâtre. Elle me souriait vicieusement.
    
    - ...
    ... Voilà de bonnes vitamines, spéciales chienne en chaleur, effets garantis ! Ouvre ta gueule, salope !
    
    Après avoir passé une main sous mon menton, pour tenir mon visage redressé, elle me plantait l’une des deux seringues dans la bouche. Son pouce pressait sur le piston…
    
    - Avale salope, ne recrache surtout rien !
    
    Immédiatement je reconnaissais, le goût, la texture… Cette garce me faisait avaler du foutre ! Elle prenait son temps, me laissant déglutir, et m’humiliait encore…
    
    - Oh oui que c’est bon ça, pas vrai la chienne… tu aimes le jus de mâle, ça se voit… t’inquiète pas ma pute, ici tu vas en boire du foutre !
    
    Lorsque la première seringue fut terminée, cette sorcière délaissait ma bouche pour s’installer entre mes jambes ouvertes. Là, elle abreuvait mon fion… glissant le tube plastique dans mon antre, injectant rapidement le contenu dans mon cul…
    
    - Ton cul est plus gourmand que ta petite gueule de pute.
    
    Madame Brigitte repartait sans autre commentaire humiliant, me laissant là, seul, dans le silence et l’obscurité totale… Une dizaine de minutes plus tard environ, le souffle court, mon corps ruisselant de sueur, mes hanches ondulantes instinctivement, je me mettais à râler puis à hurler tant ce que je ressentais au niveau de mon cul était terrible… Je le sentais palpiter, battre, tressaillir, vibrer… Je ne parvenais plus à le maitriser… une chaleur épouvantable envahissait mon ventre, mes entrailles, mon corps s’effaçait l’espace de longs instants et des ...