La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1675)
Datte: 27/09/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... nouille.
Toujours sans un mot, Maxence, retirait alors son doigt de mon cul, puis attrapait ma chevelure, pour me faire redresser la tête. Il m’enfilait ce doigt, tout juste sorti de mon antre anale, dans la bouche tout en me regardant droit dans les yeux avec une indifférence et un mépris extraordinaire. Manifestement, je n’étais rien pour Maxence… seulement une chose à humilier, à bafouer, à souiller, à avilir. Peu après que j’eusse léché et sucé ce majeur, Maxence s’essuyait dans ma chevelure, puis partait quelques secondes pour revenir avec un cathéter qu’il me plantait dans le pli de mon coude droit. Plusieurs tubes de sang m’étaient prélevés…
- Emmène ça au labo !, ordonnait Maxence à l’intention de Pierre.
Alors que Pierre partait, Maxence se plaçait une nouvelle fois derrière moi, entre mes cuisses écartelées, glissant sa main sur mes fesses, étirant une nouvelle fois mes lobes. Ses doigts froids touchaient la peau fine de mon anus, alors qu’un frisson me traversait le corps. Il maintenait ma raie écartée d’une poigne solide alors qu’une aiguille pénétrait lentement mon périnée. Je ressentais une brûlure intense alors que cette aiguille, millimètre par millimètre s’introduisait lentement. Cette aiguille aussi petite soit-elle, prenait dans mon esprit, une dimension impossible tant sa longue pénétration me donnait la possibilité de prendre conscience de sa douloureuse présence. Je ne tentais cependant pas de bouger pour m’échapper de cette souffrance… Je ne ...
... bougeai pas d’un poil, d’ailleurs comme aurais-je pu me défendre tant j’étais entravé et sans plus aucune force ? La sensation de brûlure s’intensifiait encore plus lorsque Maxence m’injectait, à maintes reprises un produit infâme, dans toute cette zone péri-anale, à plusieurs endroits, tout autour de mon anus, mais aussi à la racine de mes couilles. Je ressentais mes tissus périnéaux s’étirer, la douleur s’accroitre… Je tremblais, mon corps suait. Lorsqu’il eut fini toutes ces injections, un de ses doigts tartinait abondamment mon trou de salope, tant sur les parois externes qu’internes, d’une crème épaisse et extrêmement froide.
J’étais détaché, puis emmené par Pierre dans un autre local bien différent. La porte que nous venions de franchir donnait directement sur une passerelle élevée d’un mètre au-dessus des installations qui se séparaient de façon égale de chaque côté de celle-ci. Des installations constituées de grands compartiments délimités de lourds barreaux de fer. Il n’y avait personne ici. Alors que je marchais à quatre pattes, je sentais une pression s’exercer au niveau de mon périnée, de mon cul, de mes couilles. Chaque pas m’élançait, j’avais l’impression que mes burnes avaient gonflées, je les sentais battre contre l’intérieur de mes cuisses, ma nouille, quant à elle, était tendue à l’extrême. Cette marche forcée en quadrupédie devenait presque intenable, insupportable. Je soufflais, râlais sans même m’en rendre compte. Mon esprit devenait flou, la chaleur ...