La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1675)
Datte: 27/09/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1674) -
Chapitre 50 bis : Habité par la baise –
- …Voilà la vie qui t’attend, la chienne de pute…
Je restai immobile, à genoux, contemplant d’un œil vide cette femme hideuse… Elle se penchait vers moi et déposait ses lèvres vers mon oreille.
- Tu le sais que tu es une pute, tu ne peux plus te mentir, ton corps servile connait ta nature profonde. Regarde ta nouille comme elle remplit cette cage. Si je la libérais, elle se redresserait aussitôt. Ecarte les jambes, regarde la, boursouflée comme elle est !
Alors que j’obéissais, Madame Brigitte me donnait un coup de pied dans les couilles… Coup qui me coupait la respiration sous la douleur.
- Hors de question que je te libère de ce machin métallique… Les femelles comme toi jouissent du cul… Avec nous, tu vas apprendre à jouir ainsi, à jouir avec ton cul femellisé, vaginalisé, me disait-elle !
Alors que je reprenais tout juste mes esprits et mon souffle, cette sinistre femme se redressait en me souriant sinistrement.
- Pisse salope, pisse-toi dessus la chienne !
Sans que je puisse le contrôler, presque par instinct, je libérai les muscles de ma vessie. L’urine jaillissait de ma cage de chasteté. J’inondais et éclaboussais mes cuisses et mes pieds par un flot continu. La femme me regardait en silence, testant ma docilité et mon obéissance, les yeux froids et calculateurs. Peu après, elle ...
... tendait face à mon visage son pied nu et recouvert de saletés. Sa plante était à quelques millimètres de ma bouche. Je pouvais humer son odeur forte, une odeur d’humiliation et d’abattement.
- Lèche, la chienne.
Je me penchais en avant, les yeux fermés, puis passait ma langue depuis le talon jusqu’aux orteils, léchant encore et encore, du mieux que je le pouvais, léchant comme une chienne affectueuse.
- Lèche, entre mes orteils !
Là encore, je m’exécutais rapidement, obéissant instantanément à chaque ordre dicté, enfonçant ma langue dans chaque interstice de ses orteils, y récurant la sueur avant de l’avaler, récoltant par la même occasion ma propre ignominie et ma totale déchéance.
- On voit que cette chienne appartient à Monsieur le Marquis, elle est parfaitement dressée… C’est bon, Pierre, tu peux l’emmener chez Maxence.
- C’est vrai que Monsieur le Marquis possède les meilleurs spécimens. Il n’est pas un des plus grands Maîtres au monde pour rien !
- Oui, Monsieur le Marquis est d’ailleurs notre plus gros client…. Aller, j’emmène Sa chienne chez Maxence …
Pierre donc, n’était autre que cet homme trapu et puissant… Sans crier gare, il m’attrapait sous son bras, me décollait du sol en un temps record sans le moindre effort. Surpris, je l’étais… même si je n’étais pas bien lourd, je pesais malgré tout 68 kilos ! Lui, me portait sans délicatesse, me comprimait contre le haut de ses hanches et sous son bras musclé, comme si de rien n’était, tel un vulgaire ...