1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1675)


    Datte: 27/09/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... sac de patates. Lorsqu’il me relâchait, je me retrouvais à quatre pattes dans un bureau médical aux murs blanc où de nombreux dessins grands comme des posters de diverses anatomies du corps humains, y étaient affichés. Devant moi, un homme en blouse blanche assis derrière un bureau en train de taper sur un clavier d’ordinateur.
    
    - Salut Maxence, voilà la nouvelle chienne que nous attendions ! Mais pas n’importe quelle chienne, celle-là appartient à Monsieur le Marquis d’Evans et donc elle aura droit, cette petite pute, au traitement haut de gamme, le plus onéreux, mais le plus efficace pour faire d’elle, ce que Monsieur le Marquis veut en faire…- Parfait !, Si cette sale putain appartient à Monsieur le Marquis, nous nous emploierons tout particulièrement de son cas avec au programme, en effet, le traitement le plus adapté, cela est une évidence, répondait Maxence à Pierre tout en restant concentré sur son écran.
    
    J’osais lever mon regard sur cet homme… Cet homme que dis-je… un dieu… d’une beauté à tomber par terre. Mince, très brun, les cheveux courts, les yeux bleus, la quarantaine, sa blouse blanche quelque peu déboutonnée laissait entrevoir un torse poilu. Maxence, sans me regarder, comme si je n’existais pas, demandait à Pierre de m’installer. Je m’attendais à être allongé sur une table d’auscultation, mais non ! En lieu et place, toujours à quatre pattes, j’étais attaché dans des sangles passant sous mon torse et mon abdomen, d’autres m’écartant largement les ...
    ... cuisses, d’autres encore entravant mes pieds et mes bras. Bref, très vite je me retrouvais suspendu à l’horizontale, les jambes écartées, les bras et les mains attachées par des cordages, tirés vers l’avant de mon corps. Toutes ces sangles semblaient être reliées entre elles et attachées à un palan électrique se trouvant juste au-dessus de mon dos. J’avais l’impression de flotter dans les airs après que le palan m’ait levé du sol. La position m’était très inconfortable mais à ce moment-là, Maxence se levait et directement se plaçait derrière moi, entre mes jambes grandes ouvertes. Toujours sans un mot, sans une attention particulière, comme si je n’étais qu’une chose, une de ses mains tirait sur l’un de mes lobes fessiers, afin de dégager mon sillon, alors qu’un doigt de son autre main me pénétrait violemment l’anus, m’obligeant à pousser un long râle guttural. Pendant de longues minutes ce doigt me fouillait, tirait sur ma corolle flétrie par des mouvements circulaires, plongeait dans mon cul pour ressortir ensuite, et recommencer. Puis s’en vint le moment où ce doigt s’arrêtait sur ma glande intime. Il massait énergiquement ma prostate, alors que Pierre libérait ma nouille de cette maudite cage de chasteté pour ensuite presser douloureusement mes couilles et ma tige tumescente, sans se soucier de mes plaintes et mes cris :
    
    - Je crois que nous avons suffisamment de mouille pour nos analyses !, lançait Pierre en montrant à Maxence la petite coupelle qu’il avait placé sous ma ...
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