Entremets
Datte: 26/09/2023,
Catégories:
ff,
fff,
fplusag,
fépilée,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
odeurs,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
69,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... entre les grandes et les petites ?
— Je… Je ne sais pas.
— Il faudrait s’en assurer. Tu nous permets de regarder ?
La réponse vient dans un souffle qui laisse place au doute. Elle la répète bravement pour donner son accord.
Là encore je ne fais qu’assister Colette en écartant pour elle les bords du sexe. Les plis roses s’ouvrent et la petite crête festonnée se sépare sur un corail moiré. Il n’y a pas de poil, pas même un duvet, sur la partie cachée des lèvres, juste quelques traces de vieille sueur ou d’un autre fluide. Dans la fente qui s’offre brille une jeune mouille et la pointe d’un adorable bouton se dégage de la peau étirée. Un parfum de désir baigne la vulve écarquillée.
— P… pardon, hoquette Anaïs.
— Ce n’est qu’une réaction naturelle, ma chérie, l’assure Colette. Ça arrive souvent. Dites-le-lui, Chantal.
— Mais oui ! Colette a raison. J’ai eu la même, vous savez ! Ça prouve que vous êtes en bonne santé sexuelle. C’est le contraire qui serait inquiétant ! Une jeune et jolie femme qui serait insensible, vous vous rendez compte de la catastrophe, vous qui êtes mignonne de partout !
J’exagère sur le ton de la plaisanterie pour dissiper sa gêne. Elle a un petit sourire forcé au début qui se transforme en petit rire sous le compliment équivoque. Puis, mi-sérieuse, mi-complice, elle cherche mon regard.
— Ça brûle. Ça vous a fait mal, vous aussi ?
— Pire : il n’y avait personne pour aider Colette !
Cette fois, elle rit franchement en répondant ...
... qu’elle est désolée (je ne sais trop dans quel sens je dois le prendre…) sans remarquer qu’un pouce indiscret s’est égaré par hasard sur son clitoris en même temps que le gant mouillé de frais posé par Colette sur sa minette. Les deux frissons ont dû se confondre dans un apaisement bienvenu. Je n’ai pas eu droit à de semblables égards, ce matin, mais je n’en suis pas jalouse. Le soupir de soulagement d'Anaïs et son sourire satisfait me font oublier le regret de quitter la douceur de son sexe.
L’excitation retombée et la souffrance atténuée, de nouveaux scrupules semblent assaillir notre jeune compagne. Elle rechigne manifestement à renfiler sa culotte sale tout comme elle se voit mal passer le repas en tenant le gant sur sa chatte. La sollicitude de Colette la tire d’embarras. Elle accepte avec reconnaissance l’offre d’un long T-shirt qui ménage sa pudeur. Elle est plus réservée vis-à-vis du verre de whisky qui l’accompagne en récompense de son courage.
— Oh non, Colette. Merci, mais je vais être pompette !
— Allez, quoi ! Tu l’as bien mérité, non ?
— Ce ne serait pas prudent pour rentrer chez moi.
— Tu travailles, demain ?
— Non, c’est samedi.
Ah ben oui, déjà ! Je n’ai pas vu le temps passer, me dis-je tandis que Colette fait mine d’avoir une idée.
— Tu sais quoi ? Je vais appeler chez toi pour dire que je t’ai retardée et que je te garde pour éviter que tu rentres au milieu de la nuit. Qu’est-ce que tu en dis ?
— Mais mon père aura peut-être besoin de la ...