Entremets
Datte: 26/09/2023,
Catégories:
ff,
fff,
fplusag,
fépilée,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
odeurs,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
69,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... l’anatomie d’Anaïs reviennent me titiller l’esprit. Il faut que je l’occupe pour ne pas en être envahie. Voyons, ça fait quatre jours que je suis chez Colette et je n’ai recueilli qu’une faible partie de ses souvenirs. (Passons sur les à-côtés de mes découvertes sensuelles et de mes essais de mise en situation, pour le dire pudiquement…) Il me faudrait le double de temps pour achever ma collecte, à moins qu’elle en ait assez de moi et me jette dehors.
De toute façon, mon mari rentrera dans une semaine, je dois revenir à la maison avant. Je ne lui cacherai pas mon escapade. Je ne lui dirai pas tout non plus. Je ne sais pas trop comment lui présenter la chose, surtout si je prévois de revenir ici. Pour autant que Colette le veuille, bien sûr ! Au fait, je pourrais lui demander conseil sur quoi raconter : vérité, demi-vérité, ou vérité plausible ? Je me fierai à son expérience.
Toc, toc, toc !
Non, ce n’est pas la Charlotte qui vient chercher sa culotte, c’est la Anaïs, et elle l’a sur elle, sa culotte, enfin sa salopette, crasseuse à souhait. Ses mains ne valent pas mieux, elle en a même sur le visage… Mais elle triomphe.
— Ça marche ! J’ai tout remis en ordre et rebranché le circuit du chauffage central. Il faudra quand même quelques heures pour que la circulation soit efficace.
— Super ! Je dirai à ton père qu’il peut être fier de toi, la félicite Colette. Tu veux te débarbouiller ? Il y a encore un peu d’eau chaude.
— Les mains, oui, merci… Oups ! La ...
... figure aussi, ajoute-t-elle après un coup d’œil au miroir.
— Lave tout ce qui te fait plaisir ! Je te sers l’apéritif en t’attendant. Vin d’orange ou whisky ?
— Votre vin d’orange, Madame Colette, répond sa voix lointaine. Je peux faire pipi ?
— Tu n’as pas besoin de demander, lance Colette. Ou bien tu veux qu’on t’aide ?
— Hi, hi !
Elle est de retour moins de cinq minutes après, les menottes propres, le minois itou, la minette… (Ah non ! Je ne vais pas recommencer ! ) Sa salopette aussi a meilleure mine. Elle explique que son père enverra la facture et s’assoit avec une satisfaction évidente.
— Ouf ! J’aurais bien pris un whisky, mais je suis vannée. J’ai couru toute la journée…
— Reposez-vous un peu, vous l’avez bien mérité, dis-je. À votre santé !
— Santé ! Non, il est tard. Juste pour trinquer, il faut que je rentre.
— Téléphone chez toi, tu souperas avec nous, propose Colette. On partagera le reste de civet. Un lièvre que m’avait donné F*.
— Le patron du resto ? Il vous a à la bonne !
— Il l’avait tué sur mon terrain, et ce n’était pas le premier. Alors ? C’est oui ?
— Non. C’est gentil, mais je vous dérangerais.
— Tu ne nous déranges pas. Et je te dois toujours ton pourboire, sourit Colette.
— Ah ! Pas ce soir, je ne suis guère en état, rit Anaïs. Je ne suis même pas passée à la maison ce midi. Je ne vous en dis pas plus !
— Oh, mon état n’était pas plus présentable quand vous m’avez vue ce matin, viens-je appuyer Colette.
— Vous aviez une excuse : la ...