1. Villa Marine


    Datte: 25/09/2023, Catégories: grp, inconnu, parking, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, fsodo, uro, occasion, Auteur: Landeline-Rose Redinger, Source: Revebebe

    ... étaient nus, d’autres dont les salopettes tombaient sur les hanches arboraient des corps ventrus, poilus et odorants. Leurs bites indifférenciées l’une de l’autre avait en mélange, le goût salé de la pluie, âpre du sperme et poisseux de la tiédeur environnante.
    
    Allongés sur le bitume, certains tendaient leurs membres et je m’y empalais alors que l’on glissait sous mes genoux quelques tee-shirts mouillés. Les queues se succédaient dans ma bouche, on s’organisait pour doubler la mise, deux glands déformaient mes joues.
    
    Je fis volte-face en suppliant :
    
    — Bouffez-moi le cul, allez, bouffez-le !
    
    J’étais dans un indescriptible empressement, je suçais vite et sans répit, mes mains branlaient follement. Mon visage était mobile comme automatique, à coups de langue féroces, je léchais des couilles.
    
    Et vous le savez, j’ai une grande prédilection pour la sodomie (et vous ?), j’implorais qu’on se finisse dans mon cul. Je sentais les jus régurgiter et couler au long de mes cuisses. Si l’extase ne m’avait pas tenue dans ses tenailles, j’aurais léché le bitume pour ne rien perdre des gouttes des spermes qui le maculaient.
    
    Les rois de la route défonçaient mes trous en ahanant, certains se branlaient sur mes seins, d’autres déjà devenaient spectateurs. La fin, c’est la fin, mais les hommes n’ont pas tout donné, me dis-je, je suçai chaque bite, réclamant le trou de leur cul, huit trous, je crachai et léchai alors que mes doigts écartaient les lèvres de mon sexe. On ...
    ... le forçait, on y entrait. Anus, vagin, indissociable alternance.
    
    Il me semblait être au-delà des plaisirs que jusqu’alors j’avais connus.
    
    Puis les hommes ralentirent la cadence, branlant leur sexe qui fléchissait. Je me ruais sur chaque bite, branlais, suçais les queues molles. Un de la bande se retourna à quelques pas pissant sèchement sur le bitume. J’avais, je le confesse, encore en mémoire la nuit dans le hangar de Tonton Henry. Ce fut, ce soir-là, la première fois que je jouissais de la chaleur de l’urine.
    
    Je criais en me branlant :
    
    — Eh ! Toi, pisse-moi dessus !
    
    Je m’allongeai sur le bitume et l’homme urina sur mes seins. D’abord les autres restèrent interdits, on entendait desalors celle-là c’est une sacrée salope… d’autres,une chienne tu veux dire.
    
    — Alors pissez sur la chienne ! lançai-je.
    
    Et huit jets cinglèrent mon corps, mon visage. J’ouvrais la bouche pour me gargariser de la pisse aigre et chaude.
    
    Après, certains retrouvèrent une érection et une éjaculation sèche et de courte durée, juste le temps de m’enculer une dernière fois.
    
    Si quelques lascars, épaules basses et silencieux regagnaient leur cabine, d’autres furent courtois et prévenants. Je m’installai au volant de ma Mini-Cooper. Le cercle des camions se brisa, je me retrouvai seule sur le parking. Après que mon cœur eut recouvré le rythme régulier, je passai mon chemisier col Claudine, tirai mes cheveux dans une barrette, changeai mes escarpins pour des Repetto. Lunettes ...