Villa Marine
Datte: 25/09/2023,
Catégories:
grp,
inconnu,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
uro,
occasion,
Auteur: Landeline-Rose Redinger, Source: Revebebe
... cercle fermé autour de ma petite voiture. L’aire de repos ne me promettait pas que du repos.
La pluie comme dans les films noirs, la pluie avait redoublé et la chaleur semblait lui emboîter le pas – ou n’était-ce peut-être que celle exponentielle de mon corps. De concert les huit routiers quittaient leur cabine, affichant pour la plupart un sourire et un pas de vainqueur. Et pourquoi, moi qui n’avais jamais redouté la multitude, bien au contraire, dans un geste rapide, je verrouillai mes portières. Cette petite décision n’avait eu qu’un effet plus accru chez les hommes. Penchés vers moi les huit mâles m’exhortaient à ouvrir en promettant déjà toute gentillesse, toute bonne chose à venir. La buée me les faisait apparaître comme des formes entrevues comme des spectres. J’entendais la horde tenter de parlementer, puis on devenait plus ferme et puisde toute façon tu vas y passer salope ! Je sentis le balancement de la voiture et bientôt les costauds allaient la peler comme un fruit trop mûr. La tôle allait partir en lambeaux.
De la paume de ma main, je fis un passage sur la vitre et, remontant ma jupe, glissai un doigt vers mon sexe.
Comme un seul homme, les huit routiers sortirent leur bite et chacun semblait seul dans sa folie. Chacun appelait ma chair, ma peau.
Je dégrafai mon chemisier, collant mes seins contre la vitre au rythme des cris injurieux de salope, putain, suçeuse de bites, allumeuse, à ce rythme-là je suçais mes tétons, ma langue les faisait ...
... durcir.
Je quittai ma jupe, présentant le string dont mon doigt écartait le filin pour s’enfoncer profondément.
De ma main libre, j’actionnais la commande d’ouverture des vitres avant et passai mon cul dans l’entrebâillement.
— Enculez-moi, les gars, enculez-moi.
Et tandis qu’on enfonçait le trou de mon cul, la portière côté volant s’ouvrit et une bite entra directement dans ma bouche. Elle força ma gorge puis gicla une purée épaisse. J’en réclamai une autre.
— Une autre dans ma bouche, allez mes salauds, j’en veux une !
Derrière on lapait mon cul, on branlait ma chatte, puis on se bousculait pour fourrer sa queue. C’était en quelque sorte une farandole qui tournoyait autour de ma voiture. Qui m’avait enculée venait bourrer ma bouche et ainsi de suite. Je vous passerai pour cette fois, lest’aime ça salope et autrebouffe-moi les couilles, vous savez ça je présume, semblablement à moi. Cette littérature vous place aux antipodes de celle de Bachelard. Mais il y a un temps pour tout, n’est-ce pas ?
Je trouvais dommageable qu’on ne me fasse pas bénéficier de la pluie, aussi, je tendis mes bras vers un costaud qui me décolla comme une plume et d’homme en homme, plantée sur leur bite, je fus portée. Mangeant leurs bouches, salivant leurs langues tandis que leurs queues s’actionnaient dans mon vagin, que la pluie ferme et drue rendait à l’état de patinoire.
Parfois une bite quittait mon trou, et cela amplifiait mon plaisir. Chaque homme n’était plus que loque. Certains ...