1. Chalet 1


    Datte: 23/09/2023, Catégories: fh, Collègues / Travail caresses, pénétratio, mélo, occasion, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... relevant pour mieux repartir. C’est pur bonheur que de voir ses gros nichons ballotter en tous sens en suivant ses sauts de cabri, ce petit corps dodu, blanc et tellement bandant batifoler dans les herbes folles, accompagné de ses rires et de ses cris de joie. Elle m’appelle, m’incite à la poursuivre, je finis par y aller gêné dans ma course par ma queue dressée.
    
    Je l’attrape une première fois, elle se défend, s’échappe, je la plaque alors comme au rugby et nous roulons ensemble dans la pente ensoleillée en riant aux éclats. Je la bloque sous moi, rendu fou de désir par cette poursuite, coince ses jambes avec les miennes, tire ses hanches vers le haut. Je la prends ainsi en levrette, usant de ses deux trous béants indistinctement, titillant seins et clitoris jusqu’à ce qu’elle halète comme une femelle couverte par son mâle et parte en violents soubresauts dans les jouissives tortures de l’orgasme. Puis je la retourne et m’assois à califourchon sur son ventre pour me finir entre ses seins pressés l’un contre l’autre, éjaculant sans retenue sur son visage. Elle se relève, essuie ses yeux du sperme piquant et lèche consciencieusement ses doigts, puis nous rentrons éreintés et ravis. Nous faisons une flambée en écoutant un CD d’Erik Satie. Elle s’étend sur les coussins en rond du salon, la tête sur mes genoux, et me dit :
    
    — Je suis heureuse, heureuse comme je ne l’ai jamais été. J’ai couru dans les herbes folles, nue comme quand j’étais toute petite. J’ai baisé comme jamais ...
    ... je n’avais baisé, comme un animal, en toute liberté, avec un homme merveilleux… Je voudrais que cette journée dure éternellement. Je suis bien… Merci…
    
    Elle s’endort. À force de ne pas bouger pour ne pas la réveiller, je m’endors aussi. Je reviens à la réalité quand il fait nuit noire. Je soulève sa tête délicatement et vais à tâtons allumer la cuisine, ce qui me permet de fermer discrètement portes et volets. Il est 22 heures 30 et je suis bien embêté, ne sachant trop quoi faire. Je décide de la porter jusqu’au lit, elle se réveille quand je la prends dans mes bras. Je lui demande si elle veut manger quelque chose, juste un peu d’eau dont elle boit une grande rasade à la bouteille. Puis nous allons nous coucher, encastrés l’un dans l’autre et retrouvons vite le sommeil.
    
    Le dimanche, dès le réveil, je la trouve moins gaie, moins enjouée que la veille, moins joueuse aussi.
    
    — C’est parce que, me dit-elle, le conte de fées se termine aujourd’hui. Je dois être à la gare à dix-sept heures trente pour récupérer mes loupiots.
    — Eh bien justement, profitons pleinement des quelques heures qui nous restent.
    — Oui, bien sûr…
    
    Mais le cœur n’y est plus vraiment. Nous faisons une petite promenade apéritive dans le bois, où j’espère bien lui faire de nouveau l’amour, mais je sens qu’il vaut mieux renoncer d’abord parce que notre différence de taille rend la position debout très inconfortable, en dehors de la porter, et puis surtout parce que l’esprit n’y est pas. Elle tient au ...