Treize quatorze quinze - Histoires de Sexe

Treize quatorze quinze

... sonores ! Après avoir dit « aurevoir », chaque nouveau couple se sépare pour s’isoler dans son logement. Je constate que Lola accompagne naturellement Matthieu.

Bien sûr, une fois la porte refermée, Angèle et moi, nous nous sautons dessus, littéralement. Après quelques minutes de bisous et de câlins, elle prend la parole :

— Ça me fait tout drôle d’être ta femme !
— Ça te déplaît ?
— Pas du tout ! Le plus étrange, c’est de savoir que, dans une autre chambre, mon mari est en train de batifoler avec ta femme.
— Tu crois qu’ils ont déjà commencé ?
— Ta femme, je ne sais pas, mais Matthieu, il n’en peut plus, il a les couilles pleines à ras bord !

Je souris largement :

— J’adore ta façon de t’exprimer…
— Ne fais pas ton pudibond, mon biquet ! Avec moi, tu te défoules, et ça t’arrange que je m’exprime comme une charretière.
— Je reconnais que j’ai, moi aussi, besoin d’une vidange…
— Eh bien, j’espère que tu ne vas pas tout vidanger d’un seul coup ! Car maintenant que je peux profiter de toi, tu as intérêt à me faire de l’usage cette nuit !

Je lui fais remarquer un détail :

— Pourquoi crois-tu que j’ai évité de trop manger ce soir ?
— J’avais vu ça… c’est tout à ton honneur ! Bon, maintenant que tu es enfin à moi, fais ton office, mon nouveau mari à moi !

Je commence tout de suite mon devoir conjugal envers ma nouvelle femme. Angèle est déchaînée, une véritable tigresse ! Je n’ai pas encore besoin de petite pilule bleue pour m’aider à la contenter, mais ...

... si j’avais la moindre faiblesse, j’aurais dû y recourir !

Je ne me rappelle plus exactement les détails, mais mises à part ma bouche et mes mains, ma verge a exploré sur elle et en elle tout ce qui était humainement possible de faire. Et parfois de façon fort acrobatique ! Si vous souhaitez plus de renseignements, consultez le Kamasutra, et enlevez les pages contorsionnistes…

Allongé sur le dos au milieu des draps froissés, j’ai actuellement droit à une petite pause bien méritée, Angèle étant blottie contre moi, telle une chatte momentanément repue. Curieusement, elle me demande :

— Tu crois que ça s’est bien passé entre ta femme et mon mari ?
— Demain matin, nous serons fixés si tout s’est vraiment bien passé dans l’autre chambre. Mais tel que je connais Lola, s’il y avait eu un problème, elle serait carrément venue taper à notre porte.

Angèle se colle encore plus contre moi :

— Donc, ça s’est bien passé.
— Je le pense, mon ange. Et ça m’arrange, car ça signifie que toi et moi, on pourra faire l’amour plus souvent et sans se cacher de nos partenaires, puisque tout le monde y trouvera son content…
— T’as l’esprit pratique ! Mais moi aussi, ça m’arrange !

Puis elle se redresse :

— Bon, assez causé ! Refais-moi subir les derniers outrages !
— Tu tiens à ce que ce soit vraiment les derniers ?
— Euh… finalement, non… Ça ne fait que commencer ! Allez, au boulot !

Encore heureux que je ne vive ce genre de nuit que de temps à autre, sinon je serais déjà ...