Treize quatorze quinze - Histoires de Sexe

Treize quatorze quinze

... l’autre.

S’adressant à nos épouses quasi dénudées, Matthieu plaisante :

— Vous voulez faire bander tout le monde sur la plage, même les bigorneaux ?
— C’est pas dans cinquante ans que je pourrais encore le faire.
— Je te donne raison, tu sais !

Les femmes se lèvent :

— Nous, on va tester l’eau !
— Allez-y ! Nous, on admire !

Elles s’éloignent de nous, l’une à côté de l’autre, leurs fesses qui ondulent de façon évocatrice ! Visiblement, l’eau semble chaude car elles entrent dedans sans souci. Elles batifolent quelques minutes dans la mer, s’amusant de façon visible. Je constate du coin de l’œil que nous ne sommes pas les seuls intéressés par ce spectacle.

Puis, lentement, nos femmes reviennent vers nous, ruisselantes. Tout de suite, mes yeux se focalisent sur les deux poitrines offertes. Celle de Lola est clairement accrochée plus haut que celle d’Angèle qui subit nettement plus les lois de la gravité. Mais je ne déteste pas ce lascif « pendouillage », surtout quand ça balance joyeusement !

Fixant avec avidité nos femmes, Matthieu me confie :

— Ah quel beau spectacle que de voir nos femmes, nichons à l’air en train de courir vers nous !
— Quel beau spectacle aussi de les voir se baigner ensemble : vraie femme et fausse femme !
— N’empêche que c’est une très bonne idée que d’avoir pratiqué à un échange de femmes ! Entre nous, si on m’avait dit que ça allait arriver un jour à notre couple, je n’y aurais pas cru une seule seconde !
— La preuve est ...

... sous tes yeux, Matthieu.

Pique-niquer au-dehors avec deux femmes presque nues est un plaisir qui ne se refuse pas et qui est malheureusement trop rare.

Puis arrive le moment de faire une petite sieste.

Lola et Matthieu sont allongés l’un à côté de l’autre. La main de mon voisin s’égare parfois, mais ça reste gentillet. Angèle se sert carrément de mon ventre comme oreiller. Vicieusement, elle s’amuse à frotter sa tête à l’orée de mon maillot de bain, et comme je ne suis qu’un homme, une certaine réaction physiologique se déclenche. À un moment, mon érection est telle qu’elle soulève l’élastique de mon maillot, ce qui permet à ma fausse femme d’avoir une certaine vue sur mon gland décalotté entre bas-ventre et tissu. Comme c’est une vicieuse de première catégorie, elle en profite parfois pour donner sur mon méat un petit coup de langue ou donner un furtif bisou.

J’essaye de rester zen, mais ce n’est pas évident !

Lola s’est retournée sur le ventre, exposant son dos et ses fesses. Son faux mari, n’y tenant plus, caresse délicatement sa peau, s’attardant souvent sur son mignon popotin qui dore sous le soleil. Ma(vraie) femme ne dit rien, se laissant faire. Quelque chose me dit que Matthieu adorerait lui faire son affaire, mais ce n’est pas aisé sur une plage avec du monde autour, même si ce n’est pas la grande foule.

De mon côté, avec une certaine difficulté, j’arrive à reprendre le contrôle de mon cinquième membre, mais ce ne fut pas évident !

À tour de rôle, ...