1. Les petites stagiaires: Aglaé III,2


    Datte: 16/09/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Exorium, Source: Hds

    ... Ah, ça pour être beau, il est beau.
    
    Elles n’en étaient que plus déterminées à voir le reste du coup.
    
    – Ben oui, tu nous connais. Tout le reste. Les fesses. Le torse. Les boules. La queue. Tout. Absolument tout.
    
    – Histoire de se faire une idée.
    
    – Pour commencer. Après, on verra.
    
    Et on s’est retrouvés tous les trois chez Camille, agglutinés à la fenêtre, les yeux rivés à ma salle de séjour en contrebas.
    
    Élodie n’en démordait pas.
    
    – Mais si, ils vont venir, mais si ! Ils vont pas rester cloîtrés dans la chambre à coucher alors qu’ils ont tout l’appartement pour s’ébattre. Sans risque d’être dérangés. Moi, à leur place, j’hésiterais pas une seule seconde.
    
    Et on a attendu. Une heure. Deux heures. Quatre.
    
    – On perd notre temps.
    
    Elles ont fini par l’admettre, mais pas question, pour elles, de baisser les bras pour autant.
    
    – Ah, non alors ! On va changer notre fusil d’épaule. Ils veulent pas se montrer ? Très bien. On va monter à l’assaut. Et ils vont voir ce qu’ils vont voir.
    
    Camille était toute disposée à prendre la direction des opérations.
    
    – Sûrement qu’il aimerait avec moi. Parce qu’une fille à qui tu peux caresser en même temps les nénés et la queue, t’en as plein, ça, ils raffolent.
    
    – Tu crois ?
    
    Et j’ai glissé une main sous son tee-shirt. J’ai enfoui l’autre dans son pantalon. J’ai enrobé un sein dont j’ai emprisonné la pointe entre le pouce et l’index. Je me suis emparé de sa bite qui a aussitôt pris forme et consistance sous ...
    ... mes doigts. Il s’est, de son côté, fébrilement aventuré à la recherche de la mienne.
    
    Élodie a protesté.
    
    – Ah, non, non, hein ! Les queues à l’air, les garçons ! Vous allez me les laisser regarder cracher.
    
    S’il y avait que ça pour lui faire plaisir ! On s’est déshabillés. Tous les deux. Complètement. Et on a repris les choses là où on les avait laissées. Ma main sur lui. La sienne sur moi.
    
    – Attendez ! Attendez ! Vous attendez, hein ? Je reviens.
    
    Avec une photo d’elle qu’elle a posée entre nous. Juste son visage. En gros plan.
    
    – Allez-y maintenant !
    
    Sans la quitter des yeux. Il est venu le premier, presque tout de suite. À grandes saccades blanches qui se sont répandues sur la photo. Qui s’y sont déployées. Et puis moi. Mon foutre s’est entrelacé au sien.
    
    Elle nous a recueillis du bout des doigts. S’est enduite de nous. Les lèvres. Les seins. La chatte. Le bouton. Sur lequel elle s’est voluptueusement acharnée. Elle a fermé les yeux. Doucement grondé.
    
    On a dormi ensemble. Tous les trois. Blottis les uns contre les autres.
    
    Ils n’avaient pas fait irruption dans ma salle de séjour, non, mais ils n’étaient pas restés dans leur chambre non plus. Ils avaient profité de mon absence pour squatter la mienne. Pour s’envoyer en l’air dans mon lit. Aglaé me l’a tranquillement avoué, le lendemain matin, l’air ravi.
    
    - Et comment ça m’avait mise en appétit de me dire que c’était là que vous vous l’étiez fait en nous écoutant. Que ce serait là que vous vous le ...