Matures au confessionnal (2)
Datte: 09/09/2023,
Catégories:
fh,
fplusag,
couleurs,
couple,
grossexe,
handicap,
piscine,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
coprolalie,
confession,
chronique,
Auteur: Jacquou, Source: Revebebe
... me dérangeait en rien d’ailleurs, car j’aime ça. J’aime tout d’ailleurs. J’adore baiser, mais baiser vraiment, et plus c’est cochon, plus j’aime. Pour moi, le test, c’est la langue dans l’anus. Quand un homme est capable de ça, il a droit à tout. Et même à la réciprocité…
Si ma capacité à ouvrir les cuisses a fait du bien à ma carrière, tel n’a pas été le cas pour mon couple. Au début, j’ai cru pouvoir cacher mes fredaines à mon mari, mais comme il a oublié d’être sot, il a vite compris que mon ascension rapide n’était pas seulement due à mon savoir-faire politique. J’ai dû laisser filer quelques aveux, espérant qu’il saurait faire la part des choses. Il n’en a rien été. Il ne voulait pas être le cocu de la femme politique. Nous avons donc divorcé et c’est le point noir de mon aventure. On ne peut pas tout avoir.
Alors, je papillonne. J’aime trop le cul pour appartenir aux deux catégories citées plus haut. Mais si je baise utile, il m’arrive aussi de chercher le plaisir. En ce moment, je prends mon pied avec l’attaché parlementaire d’une collègue qui l’a essayé avant moi et m’en a dit le plus grand bien. Elle s’appelle Fabienne, elle a 55 ans, elle aime autant le cul que moi, mais son attaché l’épuise, car elle a de hautes fonctions et elle m’a demandé de l’épauler, si j’ose dire. Je reçois donc les faveurs d’un des plus beaux mecs du personnel parlementaire. Il s’appelle Barnabé, c’est un Guadeloupéen issu du militantisme et son corps ferait chavirer n’importe quelle ...
... nana. Ses gros besoins sexuels en font un amant vraiment exceptionnel.
Pour moi, le moment le plus excitant est celui où je lui ouvre la braguette et je vois surgir son pénis, le plus appétissant qu’une femme puisse imaginer. Je le taquine, je le suçote, je l’engloutis jusqu’à la glotte (mais il en reste encore une belle longueur) tout en me branlant. Puis il me lèche longuement, savamment, avec une habilité des îles, incomparable.
Puis je me mets entièrement nue, sans complexe, et je le regarde se dévêtir avec gourmandise, exposant son sceptre sous un torse sculptural. Et il me baise. Je crie de plaisir quand il me pénètre. Nous sommes dans le petit logement que la République m’octroie, sur un lit médium qui devient vite un chantier. Il me fouille, me ramone, me creuse, m’écartèle, me fait couiner, me fait miauler, par devant, par derrière, sur le côté, dessous ou dessus, infatigable, dur partout sauf aux couilles que je gobe avec volupté. Je lui donne autant de plaisir qu’il m’en donne. Je lui parle de sa bite, il me parle de mon cul qu’il encule pour mon bonheur.
Tout en baisant, je lui demande de parler de Fabienne, son autre maîtresse, qu’il me décrit comme aussi cochonne que moi, très verbeuse et je lui balance alors des mots crus pour qu’il ne perde pas au change. C’est ce qui le fait jouir, je l’ai compris et je cavale pour le rejoindre, pour qu’on jouisse ensemble. Alors, je suis en nage, j’ai dû perdre un bon kilo ce qui est toujours bon à prendre et j’ai la ...