1. Matures au confessionnal (2)


    Datte: 09/09/2023, Catégories: fh, fplusag, couleurs, couple, grossexe, handicap, piscine, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, coprolalie, confession, chronique, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... plaisir, continue à te mettre à poil à la piscine, m’a-t-il dit.
    
    Dès lors, quand je m’allongeais nue sur mon bain de soleil, je faisais en sorte d’être bien orientée vers l’immeuble. De temps à autre, un flash m’informait que les jumelles du garçon, que je désignerais désormais sous son prénom, Fabien, étaient dirigées vers mon corps. Je poussai le vice jusqu’à me caresser les seins, et même le sexe. J’imaginais son trouble.
    
    Mais j’avais envie d’aller encore plus loin. Un après-midi, Albert a déboulé, nu, lui aussi, pour prendre un bain. En me voyant me caresser, il m’a dit :
    
    — Tu l’allumes, hein, ton invalide.
    — Idiot. J’ai envie de baiser.
    
    Ce genre d’invitation de ma part, Albert ne les néglige jamais. Il est sorti de l’eau et m’a tendu sa queue à sucer. Je l’ai orientée de telle façon que notre voyeur puisse bien mater ma succion et la longueur de sa bite. Puis je l’ai attirée entre mes cuisses bien ouvertes sur le bain de soleil et il m’a pénétrée avec sa vigueur habituelle. J’imaginais les jumelles braquées sur le cul en mouvement de mon mari et ça m’excitait terriblement. Il ne pouvait évidemment pas m’entendre stimuler Albert de mon verbe cru, mais mes pieds parlaient pour moi en talonnant ses fesses.
    
    Puis je l’ai installé dans le bain de soleil et me suis empalée sur lui, bien visible, de face, afin qu’il voie bien mon visage marqué par le plaisir et mes gros seins agités. J’ai fini Albert à la bouche, comme il aime, et l’ai fait gicler bien en vue. ...
    ... Puis on s’est baignés après avoir bien joui, heureux que nos corps puissent encore exulter dans une bonne baise bien cochonne.
    
    Je suis allée voir Fabien le lendemain. Il m’a dit :
    
    — Merci pour le bon moment hier.
    
    Mais je voulais faire davantage, avec l’accord d’Albert. J’ai déboutonné ma robe qui s’attachait sur le devant et sous laquelle j’étais nue. Je me suis avancée vers lui et lui ai dit :
    
    — Caresse-moi.
    
    Ses mains étaient douces, précises. Quand il a atteint mon sexe, je l’ai maintenu et incité à aller plus loin. Il m’a masturbée, longuement, habilement. J’étais debout devant son fauteuil, cuisses écartées, pointes de seins dressées. Je gémissais de plaisir. Son doigt était comme un sexe et j’ai fini par jouir. Il était heureux. Moi aussi. Mais quand il a voulu me lécher, j’ai refusé. Privilège d’Albert, désolée !
    
    Depuis, nous nous voyons régulièrement, y compris avec Albert. Il nous a demandé un jour de faire l’amour devant lui et nous avons accepté, très excités par cette nouvelle expérience sexuelle. Il a installé son fauteuil roulant devant le canapé où nous étions nus et amoureux. On a utilisé toutes les possibilités du meuble, à mon avis celui où on baise le mieux. Quand j’ai chevauché Albert face au jeune handicapé, seulement distant de quelques centimètres, c’était comme s’il participait à nos ébats. Il fixait mes gros seins en agitation, le regard halluciné. J’ai compris qu’on pouvait jouir avec les yeux. Et c’est peut-être ce qui nous arrivera ...
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