Matures au confessionnal (2)
Datte: 09/09/2023,
Catégories:
fh,
fplusag,
couleurs,
couple,
grossexe,
handicap,
piscine,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
coprolalie,
confession,
chronique,
Auteur: Jacquou, Source: Revebebe
... un jour quand nous serons très vieux… Mais on n’en est pas encore là, heureusement. D’ailleurs, en écrivant, j’ai justement envie de bite. Albert est en train de bronzer à poil. Allez, hop, j’enlève ma petite robe et ma culotte et je vais le rejoindre. L’autre va encore se régaler là-haut. Albert a intérêt à être en forme.
Je m’appelle Nathalie, j’ai 44 ans, je suis divorcée avec trois enfants partiellement à charge et je suis élue de la République dans une assemblée que je préfère ne pas nommer pour être tranquille. Dans cette assemblée, les femmes sont minoritaires et peuvent être classées en trois catégories. La première, ce sont les femmes, en couple conjugal ou non, plutôt traditionnalistes. La seconde, ce sont celles qui ne vivent que pour la politique et qui, de ce fait, sacrifient leur vie sexuelle, si tant est qu’elles n’en aient eu jamais une. La troisième, ce sont les femmes qui baisent, et c’est celle dont je fais partie. Beaucoup baisent avec leur attaché parlementaire, en général, un jeune gars sorti depuis peu des écoles et prêt à tout pour monter en grade. D’autres baisent « utile » avec un ministre, un député, un sénateur, un maire important ou un journaliste. Et puis, il y a celles qui baisent pour le plaisir, pour rester jeunes, pour satisfaire leurs besoins physiologiques, ce qui n’exclut pas parfois une utilité politique. C’est ma catégorie.
Au début de mon mandat, je vivais une histoire de couple normale avec mon mari, maire d’une petite ville. ...
... Mais une fois élue au niveau national, j’ai compris qu’on ne me ferait pas de cadeau. Si je voulais arriver à quelque chose, je devais mettre toutes les chances de mon côté.
Il se trouve que la nature ne m’a pas trop desservie. Je suis grande, blonde, mince, souriante, pas trop abîmée par mes trois maternités. J’ai toujours joué sur mon charme, longtemps en tout bien tout honneur, mais dans ce contexte où nombre de femmes « couchent » pour arriver à quelque chose, j’ai conclu que je devais aussi passer à la casserole. J’ai tout de suite visé haut, je ne dirai pas avec qui, ça vaut mieux pour lui et pour moi. Il avait du bide, il bandait mou, mais il n’en revenait pas de sauter, disait-il, « un canon comme toi ».
Quand les autres femmes ont commencé à me regarder de travers, j’ai compris que je tenais le bon bout. J’ai pu intervenir en session plénière, obtenir des postes intéressants, fréquenter des hommes un peu plus sexy. Mon amant attitré étant un peu jaloux, il me fallait être discrète lorsque je baisais avec un de ses concurrents. Mon petit bureau est devenu un vrai lupanar. Je me faisais prendre dessus, mon partenaire debout bien enfoncé en moi, troussée et dépoitraillée, après l’avoir bien préparé en le suçant accroupie. Je finissais en général les coudes sur la table, prise en levrette, parfois dans mon cul que j’ai joufflu, comprenant qu’acceptant d’être sodomisée constituait un « plus » indéniable par rapport à d’autres, plus chichiteuses sur le sujet. Ce qui ne ...