Matures au confessionnal (2)
Datte: 09/09/2023,
Catégories:
fh,
fplusag,
couleurs,
couple,
grossexe,
handicap,
piscine,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
coprolalie,
confession,
chronique,
Auteur: Jacquou, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents :
Cette série est une suite de témoignages de femmes mûres et d’âges divers, ayant connu une expérience érotique particulière dans une vie plutôt ordinaire.
Je m’appelle Françoise, j’ai 62 ans, retraitée depuis peu, mariée à Albert, de mon âge, mais toujours vert, ce qui m’arrange bien, car je ne suis pas non plus « rangée des voitures », comme on dit. On aime tous les deux faire l’amour, certes moins souvent que dans le passé, mais tout aussi intensément, et ce malgré le changement de nos corps. J’ai pris du cul, des cuisses, du ventre et des fesses, mais je fais toujours bander Albert et c’est l’essentiel.
Notre pavillon est flanqué d’une piscine et je bronze à poil à côté, profitant de l’éloignement des immeubles voisins et des voyeurs éventuels. Enfin, c’est ce que je croyais. Un jour, j’ai perçu une espèce de flash venant d’une des fenêtres d’une bâtisse éloignée de plusieurs centaines de mètres, comme si le soleil s’était reflété dans du verre. J’ai couru chercher mes jumelles, j’ai fixé l’endroit et je me suis aperçue qu’une autre paire de jumelles était dirigée vers moi. Impossible de voir qui était derrière, d’autant que mon attitude a provoqué un vif retrait. Ainsi donc, j’étais matée. À la fois flatteur, pour une sexagénaire, mais dérangeant aussi. Je me suis rappelé qu’on avait baisé avec Albert plus d’une fois dans la piscine. Et si on avait été vus ?
Je me suis précipitée sur Google Map pour identifier le lieu et je ...
... n’ai pas tardé à trouver l’immeuble, et même l’étage. Restait à identifier l’appartement. Je m’y suis déplacée et après quelques tâtonnements, j’ai fini par repérer l’emplacement donnant sur notre pavillon.
J’ai sonné à la porte, bien décidée à dire son fait à l’individu voyeur et à le menacer de représailles. Mais quand la porte s’est ouverte, je suis tombée sur un jeune homme… en fauteuil roulant.
— Oui, c’est à quel sujet ? a-t-il demandé.
J’étais tétanisée par cette découverte. Le voyeur était un handicapé moteur, visiblement paraplégique. Après avoir bafouillé, j’ai fini par lui confier la raison de ma venue chez lui. Mais il avait déjà compris puisqu’il m’avait évidemment reconnue. Il m’a fait entrer chez lui. Je lui ai dit que ce qu’il faisait n’était pas bien, que ça violait mon intimité. Il m’a répondu que je n’étais pas obligée d’être nue dehors et que je m’exposais ainsi aux regards indiscrets. S’ensuivit un débat plutôt calme sur la notion de « propriété privée » et d’y faire ce que bon nous semblait.
— Vous êtes belle quand vous faites l’amour, a-t-il glissé.
Il avait donc tout vu, le petit salaud. Mais c’est difficile d’être agressif avec un jeune gars, plutôt mignon, vissé dans un fauteuil roulant. Alors, on a parlé. De son accident de moto, de sa vie, de sa frustration sexuelle, mais aussi du seul plaisir qui lui restait : celui du voyeur. J’ai fini par compatir.
J’ai tout raconté à Albert, qui a été aussi ému que moi.
— Si ça peut lui faire ...