D'une terre à une autre
Datte: 06/09/2023,
Catégories:
f,
ff,
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couleurs,
frousses,
cadeau,
fépilée,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
intermast,
Oral
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jeu,
init,
aventure,
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... maudire ces saletés de pillards, et chercher à se venger. Et la vengeance est une excellente motivation pour la survie… je reste optimiste les amis ! Nous avons des chances.
— Après l’attaque, ces scélérats avaient trouvé son petit coffre. Une cassette emplie de réals, de doublons, et de pierreries.
Delmaro savait parfaitement que les bagages de sa passagère n’avaient pas été de simples affaires de voyage. Le petit rire de Gustave étonna le nouveau capitaine du sloop.
— Une goutte d’eau de perdue pour notre amie, Armando. Mais elle doit tout de même les maudire pour cela aussi…
— Je veux pas que tu te moques…
Le rire grave de la rouquine coupa le sifflet à un couple d’oiseaux occupés à se chamailler, et les immenses yeux gris s’éclaircirent d’une brusque gaieté.
— Je ne me moque pas… Il est gros ! Le plus gros que je n’ai jamais vu… Je n’en ai pas connu beaucoup certes, mais… le tien est énorme !
Vanna se sentit rougir. Si son teint de métisse cachait ses émotions, elle savait qu’elle avait le visage en feu. Un fait qui agaçait prodigieusement sa compagne. L’Irlandaise aurait adoré voir rougir Vanna, et s’était souvent plainte en riant de cette petite frustration, de seulement deviner les états d’âme de sa chère et tendre.
— Mais tu l’aimes bien non ?
— Bah… il est si gros et si dur… qu’il me fait presque peur… il est monstrueux !
— Connasse Aylin !
La rouquine, les doigts accrochés à l’un des rouleaux couleur terre mouillée, tira doucement sur la ...
... lourde mèche brune.
— Oh oui… oui… ta langue, ma chérie… plus fort…
La jolie métisse, visage entre les cuisses bronzées ouvertes à l’équerre, contint un sourire, et titilla délicatement le clitoris dur comme une perle rosée.
— T’es très énervée, chérie Aylin.
— Oui… Oh Vanna… plus fort… plus fort s’il te plaît…
Aylin venait de quitter la cascade où les deux femmes se lavaient, et était restée nue. Après la petite moquerie dédiée à Vanna, elle n’avait pas même eu le temps de bouger. La jeune mulâtresse lui était tombée dessus sans crier gare, et l’avait aussitôt couchée à plat dos, sur la grande pierre plate. Puis, Vanna s’était installée entre les jambes de sa compagne, et sa bouche avait dévoré le sexe habillé de poils roux, sans la moindre cérémonie.
— Alors, dis-moi que tu l’aimes bien. Dis-le !
— Oui… je… je l’aime bien…
— Je veux des détails, ma salope Aylin. Vite !
La langue de Vanna s’amusait à effleurer le petit bouton dur de la rousse, et son pouce vint se coller à son œillet serré.
— Aah… Vanna…
— Si tu ne dis pas… Ta petite métisse va te laisser là, et aller sous la cascade…
— Je… Il est si gros… j’adore le… le toucher…
— Et ?
— Le lécher… le sucer… ton clitoris me rend… folle…
Les lèvres épaisses de la belle mulâtresse avaient aspiré tout ce qu’elles couvraient, et son pouce s’était lentement enfoncé dans l’étroit orifice barbouillé de cyprine épandue.
— Aah…
— Tu mouilles trop, coquine Aylin…
La moquerie préférée de Vanna envers ...