1. La voisine tapine au bois


    Datte: 01/07/2019, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... sucer.
    
    Je me souviens qu'à ce moment-là je lui tripotais les orifices. Elle ne bronchât pas quand avec un doigt je titillais et enfonçais celui-ci dans l'anus. Elle ne s'insurgeait manifestement pas de mon intention à lui entrer en cet endroit. Pour m'assurer de mon ascendant définitif et marquer mon territoire je l'embrassais de force à pleine bouche. La garce me rendit les baisers fougueux. Nous en étions depuis au tutoiement. Elle dit : « Je veux ta bite. Fous-moi à fond ! » En un éclair nous passâmes aux sièges arrière. Là nous avions tout loisir de nous lancer dans nos ébats. Ce fut du rut.
    
    Un moment je songeais qu'il y avait alentour des voyeurs qui sûrement se régalaient. Peut-être quelques-uns s'enhardiraient à venir se branler près de nos vitres. Je goûtais moyennement ce genre d'agora même si ingrat j'en avais été il y a peu. Elle à mon avis n'y avait rien à redire. S'exhiber en pute était son truc. Elle aimait manifester à la terre entière qu’elle était une chienne et que tout le monde impunément pouvait la prendre et la fourrer. Je ne me priais pas pour cela. Notamment je pus après que l'avoir entrepris en levrette, l'enculer enfin. Cela entrât facilement sans coup férir.
    
    Je maudissais de n'avoir une queue plus longue et lourde car elle avalât la mienne avec son cul comme si de rien n'était. J'adorais la sodomie. Mon épouse ne me concédait jamais cela. J’avais renoncé cela avec elle. Les prostituées réclamaient fort cher et des amantes d'occasion ...
    ... répugnaient souvent à cela. Bref je bénissais de tomber ainsi sur une authentique salope qui cultivait ce don. Je pus la besogner toute une demi-heure dedans et jouis enfin en y lâchant mon foutre. Je regardais un moment à la lueur de lune son anus maculé dégorgeant le reste de ma substance blanchâtre.
    
    Elle allumât peu après une cigarette qu’elle tint à partager avec moi. J'étais adoubé. Notre amitié étrange était scellée. Par la suite et dans l'intimité elle me dit pis que pendre de son mari si méprisant et bandant mou et qui l'avait jeté vite dans cette carrière de débauche et de libertinage. Elle ne comptait plus les amants qui l’avaient troussé. Elle convint que son vice depuis était poussé jusqu’au sordide et manifestait une propension indubitable à la soumission et au masochisme. Bref elle goûtât que je devins un de ses maîtres et la prostituât à d'autres. Je me convertis à cet emploi.
    
    Je dus forcer ma nature mais m'en félicitais bientôt. J'obtins ainsi d'autres femmes et conquêtes. Un jour je crus devoir le lui avouer. Il est vrai que nous parlions peu de nous et de nos sentiments. Il était convenu que nous n'évoquâmes que sexe et cul. Elle me dit qu’elle m'avait méprisé pour cela au début. Crûment elle m'avait rangé en la catégorie des faibles et des branleurs. J'avais gagné à la mépriser et à la prendre en cynique. Elle avait adoré et avait décidé de céder pour cela. Bref elle trouvât commode que je fus discret et son voisin et put être à loisir complice de ses ...
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