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La voisine tapine au bois
Datte: 01/07/2019, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
J'ai le péché mignon d'aller traîner souvent le soir vers les fortifications. Merci Vauban. Cet aspect en effet distingue un peu notre ville moyenne d'Est de la France. Ce soir-là d'automne, la petite pluie eût du décourager le vicieux ou le moindre voyeur dont j'étais. Je n'attendis guère longtemps. Au bout d'un chemin entre deux groupes d'arbres je vis se glisser une voiture blanche veilleuses tout allumés. Peu après qu'elle se fut arrêtée je vis deux hommes s'approcher et s'y pencher. Je connaissais le rite. Je m'approchais moi-même m'adjoignant à ces deux vils gredins. Dedans je distinguais une petite et jolie brune en lunettes. Je sursautais. Je connaissais ces traits. Il n'y avait pas de doute. C'était ma voisine du bout de la rue. J'eus le réflexe de reculer et de rester en retrait dans l'ombre. Il n'était point besoin qu'elle me reconnut et en devint toute troublée. Les deux hommes devant moi avaient sorti leur queue. Ils se branlaient frénétiquement. Elle pour le peu que j'en vu avait baissé à moitié le carreau. On lui voyait tant les seins nus et offerts qu'une chatte rasée lisse sous le rayon de lune. Elle se caressait au diapason des deux autres. Spectacle fort émouvant. De temps à autre elle regardait vers moi tâchant de distinguer un peu de mon visage et peut-être à m’encourager à m'approcher et à montrer ma queue branlée tel celle des autres. Je me gardais à satisfaire sa curiosité et sûrement dus-je la frustrer. Soudain elle releva le carreau et fit ...
... rugir le moteur de l'auto. Elle signifiait du coup la garce la fin de la partie. Elle devait se rappeler soudain ses devoirs contractés à l'égard d'un mari et d'un foyer. Phares allumés elle recula dans cet étroit chemin et disparut. Les trois hommes que nous étions se dispersèrent sans dire un mot. Je concevais toujours quelque honte après ce genre de circonstances. Les autres aussi semblent-ils ce qui expliquait que nous n’échangeâmes pas nos impressions. Ainsi se comportent ceux qui ont perpétré un crime, un viol ou un lynchage. Je songeais sur le chemin du retour que je viendrais à croiser sans doute cette femme en compagnie du mari et des bambins. Je ne savais la contenance adopter. Je n'en vins pas moins à me rappeler qu'elle ne m'avait identifié et que j'étais demeuré fort à propos dans l'ombre. Bref je savais à son insu son lourd secret. J’avais cet avantage sur elle. Bien sûre je n'en fis confidence à personne. Je n'étais pas mécontent d'avoir prise sur cette jolie femme dont j'avais idée qu'elle me snobait aux bras de son mari. Je détestais en l’occurrence celui-ci, grosse huile de Préfecture et qui aimait le faire savoir. Ce con était cocu. C'était réjouissant. Sa femme n'en faisait pas moins le tapin. Du moins avais-je l'intuition qu’elle ne devait se contenter de s'exhiber et de se caresser. La salope devait sucer. Voire davantage. J'en voulais avoir le cœur net. Je me mis en tête de le savoir et de la pousser un jour dans ses retranchements. Peu de temps ...