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La voisine tapine au bois
Datte: 01/07/2019, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... ambages : « Vous savez je fréquente aussi le soir le lieu des fortifications. » Elle sursauta, fit une grimace. Elle affectait d'avoir mal compris. J'insistais. J'ajoutais : « J'étais l'autre soir l'un de vos admirateurs. Je me branlais. » Elle ne pouvait plus éluder. J'avais été explicite et grossier à dessein. Je crus devoir la rassurer. « Rassurez-vous, je sais tenir ma langue. Votre mari n'a pas à connaître vos fantaisies. » Elle arrêta du coup sa marche semblant s'enfoncer dans une douloureuse réflexion. Elle repartit et tournât à une rue où elle voulait manifestent discuter. Je la rejoins. J'étais même en colère. Je ne voulais lâcher l'affaire. J’avais ferré le poisson. L'odeur du sang m’exaltait. Je la toisais. Je lui signifiais que si l'un des deux devait avoir peur, c'était elle et non moi. Je vis que ma fière pouvait être soumise et vulnérable. Peut-être se flattait-elle que je pus sortir de mon personnage insignifiant pour me révéler, un maître. J'augmentais dans son estime. Je tins à lui confirmer que je savais tenir ma langue et que je ne jugeais pas d'autant que moi-même j'étais versé dans le libertinage et fréquentait dans les mêmes lieux. Elle me parlât enfin. « Oui tout cela est vrai. Cependant je ne me rappelle pas vous avoir croisé là-bas ? « Je lui expliquais le gus au béret et lunettes. Elle sourit. « Ah c'était vous ? » J’enchaînais. « Je regrette juste que ce soir vous ayez préféré un autre mâle que moi pour le branler. » La coquine ...
... répondit : « Vous savez, j'ai choisi par hasard. » J'eus envie de rétorquer qu’elle avait choisi le plus bel engin. Je précisais : « J'ose espérer que j'y aurais droit la prochaine fois. « Du même sourire elle répondit comme pour clore ce singulier entretien : « C'est promis. Je vous dois bien cela. » Il se trouvât que pendant quinze jours toutes les fois où j’allais aux fortifications je ne vis pas la voiture blanche. Il était exclut qu’elle fut en congé car je m’assurais bien que sa voiture était bien rangée chaque soir devant son domicile. Manifestement elle voulait m'éviter. J'étais tout plein de rage. J'avais idée de me venger et de faire scandale. De même je ne pus la croiser à la boulangerie ou ailleurs. J'en vins à me résoudre à une démarche plus raisonnable. Un matin je laissais un mot ajusté à son essuie-glace et observait de loin son arrivée à la voiture. J'attendis fort peu. Elle était en tailleur sombre juchée sur des escarpins à talons hauts affublée de bas noirs brillants tel qu'elle exposait au tout venant et quidam là-bas aux fortifications. Je ne pus réprimer une érection brutale. La salope me faisait envie plus que jamais. Marquant un temps d'arrêt je sus qu’elle avait remarqué le message. Elle mit du temps à démarrer. Elle devait le lire. J'y avais écris que je me morfondais ne pas la voir en notre petit bois. Que j'espérais qu'elle tint à sa fameuse promesse. A mots couverts je la menaçais. Il s'agissait bien d'un chantage. Je posais comme un ...