1. La voisine tapine au bois


    Datte: 01/07/2019, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... ultimatum.
    
    J'avais pris soin de laisser une adresse mail où elle pourrait me joindre et échanger. J'obtins un mail en fin d'après-midi. Elle s'excusait d'avoir été fort occupée. Elle me dit que le surlendemain elle escomptait aller à notre endroit et que cependant elle serait en autre contre-allée. Elle me signifiait par là qu'elle changeait ses habitudes pour m'agréer. J'étais ému et excité. Je semblais courir comme à un premier rendez-vous. La journée avait été belle inaugurant un beau début d'été indien. La douce température du soir dans ce bois inclinait à l'amour et sans doute à plein d'autres choses.
    
    Au dernier moment j'eus comme un pressentiment. Et si elle m'avait posé un traquenard ? Peut-être m’attendait là-bas des sbires. Quelques-uns de ses solides amants qui m'infligeraient leçon et formidable raclée. Je l'en croyais bien capable. Pourrais-je alors me plaindre. Qu'expliquerais-je à ma femme que je traînais ce soir-là dans ce coin sulfureux. Ainsi hésitais-je et vins-je ainsi à pas comptés à la fameuse allée. Je vis de loin la voiture. Il semblait n'y avoir personne. Les voyeurs et obsédés n'entouraient comme d'habitude le véhicule. J'avançais en frémissant vers celui-ci.
    
    Elle fumait et me lançât un regard vide et tout à fait inexpressif. Je compris qu'il ne fut pas sage que je demeuras tel un idiot debout devant son véhicule. Aussi sans qu'elle m'y invitât j'ouvris la porte du passager et entrais dans ledit véhicule. Elle écoutait de la musique. Elle ...
    ... était branchée sur radio Classique. Je reconnus des passages de la symphonie inachevée. Pour manifester ma culture mélomane, je lui dis : »La symphonie en mi mineur de Schubert est tout de circonstance. » Elle tourna la tête vers moi et dit : « Bien vu ! » Je me rappelais que je devais lui en imposer.
    
    Je lui balançais : « Je savais que vous honoriez votre promesse. Seulement j'ai trouvé le délai trop long et ai témoigné mon impatience. Je m'en excuse. » Elle avait fini sa cigarette. Elle répondit : « C'est moi qui vous dois excuse. Je sais tenir mes promesses. Je suis là ce soir que pour vous. Disposez de moi ! » J'étais au ciel. Je goûtais cette reddition sans conditions. Je pouvais impunément me servir. J'écartais du coup les pans du manteau qu’elle portait bien qu’elle ne fit pas froid ce soir-là. Elle était quasi nue dessous. En fait elle ne portait en tout et pour tout que des bas.
    
    Je pelotais ses seins. Je les léchais bientôt et mordillais ces beaux tétons. La belle statue enfin s'animât. Elle semblât exhaler comme des premiers gémissements. Ceux-ci ne parurent pas feints. Manifestement cette salope était venue se donner. De toute façon me dis-je devait-elle consentir cela des fois à quelques mâles. Si je n'avais été là, un autre eut sûrement fait l’affaire et l'eût foutu sur le champ ce soir-là. J'avais à discrétion une putain. Ce n'était pas tant fréquent. J'avais eu si peu ce genre de fortunes. Peu après j'obtins à ce qu'elle se penchât sur moi et commençât à me ...
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