Etreinte salée
Datte: 30/06/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
copains,
grosseins,
groscul,
plage,
préservati,
Auteur: Jules06, Source: Revebebe
... souffle.
— Attends un peu, lui répondis-je, me faisant mystérieux.
Je nouai la cordelette de sa planche à l’anneau de « notre » bouée, puis je commençai à caresser ses formes rebondies, empoignant ses seins, flattant ses fesses, ce qui sembla la ravir. Puis, je me laissai descendre le long de son corps et tenant ses bonnes cuisses, je plaquai ma bouche contre son pubis, puis j’enfouissais mon visage contre son sexe que je mordillais délicatement à travers la toile de son petit maillot. Je remontai alors reprendre mon souffle pour mieux retourner à ma tâche.
Cette fois-ci, j’écartai le slip pour lui lécher le clitoris et je fus subjugué par la vision de ce sexe offert, soigneusement toiletté. Dès que ma langue toucha son bouton magique, elle me plaqua de sa main libre le visage pour intensifier ma caresse. Je me dégageai à nouveau pour respirer un peu, ma main prenant le relais. Elle haletait maintenant, ce qui m’incita à y retourner sans tarder. Là, je lui empoignai les fesses et je plaquai ma bouche sur son sexe, la pénétrant de ma langue tandis que mon nez frottait son clitoris et avant que je sois à cours d’oxygène, elle fut prise de soubresauts, de tremblements et elle se cramponna à mes cheveux pour que la caresse ne cesse pas.
Je dus me dégager assez vivement pour refaire surface. En reprenant mon souffle, je sortis ma précieuse acquisition de ma poche arrière et la lui montrais pour qu’elle comprenne la suite des opérations. Elle était radieuse et entreprit ...
... de m’aider. Tandis que j’ouvrais le préservatif, elle glissa une main dans mon short pour vérifier que l’état de mon sexe était compatible avec nos projets. Rassurée, elle baissa mon short et j’eus toutes les peines du monde à enfiler ce morceau de latex sous l’eau. Une fois la chose faite, je m’agrippai à la planche d’une main, à la bouée de l’autre et elle vint me chevaucher verticalement.
Je sentais ses grandes lèvres coulisser sur mon sexe, alors que sa poitrine se pressait contre la mienne. N’y tenant plus, elle s’enfonça sur mon harpon d’un seul coup jusqu’à la garde dans un grand soupir de contentement. Nous étions immobiles, et comme il m’incombait de nous empêcher de nous noyer, il me manquait des mains pour pétrir ce corps qui m’apportait tant de plaisir. Elle avait noué ses jambes derrière mes fesses et elle m’embrassa profondément pendant que son bassin commença à onduler. Elle accéléra le rythme tandis que nos halètements s’amplifièrent.
Son orgasme fut heureusement assez rapide parce que mes bras fatiguaient et je jouis à mon tour dans une secousse qui m’ébranla de la tête aux pieds. Pantelants, nous nous regardions sans parler, c’était bon. Ce fut elle qui rompit le silence :
— C’était encore meilleur que je l’avais rêvé !
— Je dois t’avouer que j’en avais pas rêvé, mais je me rends compte à quel point j’ai eu tort, lui avouais-je.
— Tu crois que demain tu auras rangé tout ça dans ta mauvaise conscience, ou tu auras envie de me revoir ?
— Ça ne fait ...