1. Etreinte salée


    Datte: 30/06/2019, Catégories: fh, extracon, copains, grosseins, groscul, plage, préservati, Auteur: Jules06, Source: Revebebe

    ... que t’vois, j’suis vénèr que tu croiyes que j’suis chébran par un putain vieux PD.
    
    Le petit con me prenait non seulement pour un homosexuel, mais en plus avec mes 35 ans, j’étais déjà un « vieux » ! Je la jouai néanmoins mec cool :
    
    — Non tu te trompes, j’ai juste besoin d’une capote, je te branche pas !
    — J’en ai pas, me dit-il, dubitatif.
    
    Comprenant qu’une discussion rationnelle ne mènerait à rien, j’exhibai devant ses yeux un billet de vingt euros qui eut l’effet escompté.
    
    — À la vanille, ça t’va ?
    — No problemo, essayai-je pour faire jeune.
    
    Retenant mon billet, je le fixai droit dans les yeux en lui disant :
    
    — On ne se connaît pas, on ne s’est jamais vu, ok ?
    — Pas d’problème mec, j’suis pas une balance, m’affirma-t-il en ponctuant son serment d’un clin d’œil complice.
    
    Je glissai mon précieux trésor dans une poche arrière de mon short de bain (celle qui ferme avec un velcro) et allai jouer au garçon de café. Après une douce sieste peuplée de seins énormes et de culs gigantesques, j’émergeai et allai prendre part aux jeux de ballons des petits, et avec Éric et Jacques nous rations beaucoup des ballons à force de mater toutes les jolies nanas qui évoluaient autour de nous, les seins dardés en avant, les pieds dans l’eau pour fuir le sable brûlant de la plage. Quand notre petite troupe décida d’entreprendre un concours de châteaux de sable, je restai barboter dans l’eau. Soudain, Anne était à côté de moi me susurrant :
    
    — Je n’ai pas eu droit à mon ...
    ... coquillage…
    
    Je la contemplais, appuyée sur un de ces minis-surfs en polystyrène dont elle faisait mine de se servir comme d’une planche de natation. Et elle s’éloigna vers le large dans un lent battement de jambes qui faisait onduler ses fesses proéminentes juste au-dessus du niveau de l’eau. Le temps de récupérer mes lunettes de nage et je la rattrapai à mi-chemin de la bouée magique. Je restai un moment derrière elle pour l’observer. La coquine avait rentré sa culotte entre ses larges fesses laissant penser qu’elle portait un string. Vus sous l’eau, grâce à ses bras tendus sur la planche, ses seins semblaient attirés par les fonds marins comme des quilles de voiliers lestées de plomb.
    
    Ses mouvements de brasse offraient un spectacle de toute beauté sur sa croupe généreuse, ses cuisses dans leur écartement maximum tendaient le tissu de son maillot sur son sexe charnu. Mon érection, peu hydrodynamique ne m’empêcha cependant pas d’atteindre le but de notre promenade en même temps qu’elle. Elle s’était à moitié hissée sur sa planche comme si elle avait voulu m’offrir sa poitrine sur un plateau. Je m’avançai vers ce trésor offert et plongeai mon visage entre ces mamelles protectrices.
    
    — J’ai eu peur que tu ne me rejoignes pas… me dit-elle.
    
    J’embrassai ses lèvres, puis contournai la planche pour venir l’enlacer. Nous nous embrassâmes furieusement et elle frissonna de bonheur quand je passai la main dans sa crinière mouillée.
    
    — J’ai envie de toi, me dit-elle dans un ...
«12...5678»