Etreinte salée
Datte: 30/06/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
copains,
grosseins,
groscul,
plage,
préservati,
Auteur: Jules06, Source: Revebebe
Je rêvais depuis longtemps de cette journée à la plage dans le Var. Loin des plages surpeuplées de Nice, nous étions partis avec deux autres couples d’amis et tous nos enfants sur cette plage lointaine, assez isolée pour ne pas avoir à jouer des coudes toute la journée pour défendre notre territoire étroitement matérialisé par nos serviettes de bain. Arrivés tôt, et après avoir consciencieusement badigeonné les enfants de crème solaire…
— Attention les enfants, restez bien au bord qu’on puisse vous surveiller !
… Nous nous sommes enfin déshabillés et installés sous nos parasols pour, à notre tour, nous enduire de crème protectrice. Ma femme, bien que ne se baignant jamais, tenait à être enduite de la tête aux pieds pour éviter que sa peau blanche ne soit brûlée par la réverbération, intense en cette fin juillet.
Je m’appliquais à ne négliger aucune partie de sa douce anatomie (de celles qu’elle ne pouvait atteindre elle-même) et, peu à peu enivré par ce contact sensuel, une de mes mains passa furtivement sous un bonnet de son haut de maillot. Cela déclencha instantanément une de ses colères froides dont elle a le secret, surtout quand j’entreprends quoi que ce soit autour de son corps depuis que notre petite dernière est née, depuis maintenant quatre ans. Et que, surtout, si je ne pouvais pas réfréner mes pulsions animales en public, j’étais vraiment un moins que rien.
Avec Julie, ce n’est pas tout à fait le désert. En fait, c’est pire ! Elle m’accorde une fois ...
... par mois le droit d’assouvir ce qu’elle appelle dédaigneusement mes « pulsions », sans y apporter la moindre attention, ce qui a le don d’infiniment m’attrister :
— Je n’ai pas de libido, je ne vais quand même pas faire semblant ! me dit-elle habituellement quand j’essaye d’aborder le sujet, clouant sur place toute velléité de dialogue pour essayer de trouver une solution à ce qui s’annonce : le naufrage de notre couple.
Pourtant, elle est vachement bien foutue, ma Julie, beaucoup mieux qu’Anne et Sophie, qui nous accompagnent ce jour-là. Même Jacques et Éric, leurs maris, semblent du même avis que moi si j’en juge aux regards qu’ils lancent sans vergogne à ma femme dès que les leurs regardent ailleurs. Un peu démoralisé, j’ai alors annoncé que j’allais nager, abandonnant implicitement la surveillance de la marmaille.
Au bord de l’eau, j’aperçus alors une bombe capable de réveiller les morts : une superbe grande fille, à la peau ambrée et à la crinière noire cascadant jusqu’à un postérieur magnifiquement cambré et à peine habillé d’un minuscule string rose. Sa magnifique poitrine nue enfreignait manifestement les lois de la pesanteur. Cette vision électrisa mon désir et je me jetai à l’eau avant que cela se remarque malgré mon short de bain. Mais mon manège n’avait pas échappé à tout le monde et Anne, qui avait aperçu la déesse, me lança un sourire complice en me rejoignant dans l’eau.
— Pff, trop fastoche ! Elle est siliconée la pétasse.
Anne était peut-être la ...