Etreinte salée
Datte: 30/06/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
copains,
grosseins,
groscul,
plage,
préservati,
Auteur: Jules06, Source: Revebebe
... se plaqua contre moi et le contact de sa croupe sur mon sexe décupla mon début d’érection.
— La sirène t’a allumé alors tu te rabats sur la baleine, me dit-elle d’une voix mi- amusée, mi-interrogative.
— Idiote, c’est toi la sirène, lui rétorquai-je en la serrant plus fort dans mes bras.
— Gloubgl… émit-elle alors qu’elle venait de lâcher prise.
Je pris appui sur la bouée et l’aidai à mon tour à se maintenir à flot.
— Tu es fou de dire des trucs comme ça ! dit-elle péniblement alors que de l’eau de mer lui sortait encore par le nez.
Lui faisant face, je la fis taire provisoirement en plaquant un baiser mutin sur ses lèvres salées. Elle en redemanda et me roula une pelle magistrale. Nos dents s’entrechoquèrent et sa langue chercha la mienne et la caressa langoureusement. Son corps plaqué au mien, les bras noués autour de mon cou, elle semblait vraiment savourer l’instant et je luttais sur mon fragile point d’ancrage pour que nos têtes restent au-dessus du niveau de la mer. Pragmatique, je lui passai la main sous les fesses pour l’aider…
Mais au lieu de stabiliser les choses, cela eut pour effet que j’eus l’impression que ses jambes s’ouvraient pour essayer de m’engloutir entièrement tant sa pression était forte. Sa poitrine généreuse contre la mienne, ma main sur ses fesses, j’étais aux anges et quand elle commença à onduler, frottant son sexe sur la bosse de mon maillot, je crus que j’allais éjaculer tant l’acuité de cette sensation me subjugua. Elle ...
... glissa une de ses mains entre nous pour sortir mon sexe contre lequel elle frotta à nouveau le sien, à travers la fine toile de son maillot. S’interrompant entre deux halètements elle me demanda :
— Évidemment, tu n’as pas de capote ?
Sans attendre de réponse, ses mouvements reprirent et devinrent assez vite frénétiques. Elle gémissait doucement et j’avais de plus en plus de mal à nous maintenir à flots. Quand elle fut animée d’une secousse violente, son gémissement se transforma en râle ce qui provoqua ma jouissance instantanément et cette vague de plaisir nous engloutit (au propre), nous forçant à reprendre notre autonomie pour refaire surface au milieu des traces de ma descendance compromise se disséminant pour aller nourrir les (petits) poissons.
Je n’avais plus connu une jouissance aussi intense depuis des années. Je le lui dis et elle me déclara qu’elle en avait rêvé depuis longtemps. Je ne savais pas si elle parlait du coït aquatique ou du sexe avec moi et je laissai l’ambiguïté s’installer. Rompant le charme je déclarai :
— Bon, on devrait peut-être rentrer avant qu’ils ne se demandent où on est.
— Oui, tu as raison, dit-elle comme à contrecœur.
Nous nagions doucement, côte à côte, et elle me demanda :
— Tu regrettes ?
— Euh… En fait non pas du tout ! Et toi ?
— Moi ? Bien sûr que non, mais je pense que tu vas le regretter, tu as l’air soucieux…
— Je ne vais pas le regretter… Juste, je crains le cataclysme qu’il pourrait y avoir si quelqu’un nous a ...