Le fantôme de mon cœur
Datte: 30/06/2019,
Catégories:
f,
fh,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
attache,
fouetfesse,
délire,
merveilleu,
fantastiq,
amourpass,
Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... beau pigeon… Et vous êtes tombé dans son piège…
— Mon dieu ! Je suis ici depuis quatre cents ans, et tout cela pour rien !
— Eh oui, que voulez-vous… Mais ne vous inquiétez pas : si tout va comme nous l’espérons, vous irez bientôt rejoindre votre dulcinée. Je lirai les incantations.
Je l’embrasse tendrement. Une fois encore, je sens des larmes couler le long de ses joues.
— Mon dieu… Comment pourrai-je jamais vous remercier ?
Je souris avec un petit sourire en coin.
— Vous savez, les petits coups vite fait dans les ascenseurs, j’aime bien, les fessées dans les bibliothèques aussi ; mais un fantôme qui me ferait tendrement l’amour ici même, j’avoue que cela ne me déplairait pas.
Comme si quelqu’un pouvait nous entendre, je lui glisse quelques mots à l’oreille.
— Vos désirs sont des ordres, Jennifer, répond-t-il d’une voix toutefois marquée par l’incrédulité.
Je n’ai aucune idée de comment cela fonctionne, mais il suffit que je ferme les yeux pour qu’il se matérialise sous mes doigts… Et ses vêtements, aussi ! Et c’est ainsi que, pour la première fois, je le déshabille. Bien entendu, je ne peux pas le voir, mais la découverte de chaque centimètre de sa peau douce et de son corps musclé me semble être le plus exquis des délices.
Quant à lui, cela n’a pas traîné ; mais il est vrai que j’ai beaucoup moins de vêtements que lui et puis surtout, il les voit. Et quand je me retrouve nue, il continue de profiter du spectacle – dont la réciproque m’est ...
... interdite – en me prenant par la main pour mieux me faire tourner devant lui.
— Vous êtes ravissante… Je le savais, mais je tenais à vous le redire.
— Merci… Je suis belle comme l’était Either ?
— Plus encore, et ce n’est pas peu dire… Cela dit, je crois que vous devriez mieux choisir vos fréquentations.
— Ah bon ? Pourquoi ?
— Parce qu’il y a encore la marque de cinq doigts sur votre divin postérieur. Celui qui vous a fait cela est un monstre…
— Mais ce monstre sait très bien qu’il pourra le refaire à peu près aussi souvent qu’il le voudra. Enfin, pas tout de suite, tout de même…
Pour faire bonne mesure, je m’agenouille sur le lit. Même si j’ai les yeux fermés, j’ai une idée extrêmement précise du spectacle que je lui offre dans le miroir, cambrée à l’extrême et le cul offert. Normalement, il doit avoir une vue imprenable sur mon sexe humide, mais plus encore sur ma rosette. Et moi, justement, je sais ce que je veux.
Je commence à le sucer. Ce n’est pas la première fois que je le prends dans ma bouche, mais la taille de l’objet continue de me surprendre. Non, ce n’est pas un de ces démonte-pneus comme l’on en voit dans les films, mais c’est tout de même ce que l’on peut appeler une grosse queue. Elle est délicieusement raide, et je m’applique à faire courir le bout de ma langue sur la moindre parcelle de cet impressionnant morceau de chair que je sais dressé pour moi.
L’engloutir. L’engloutir au fond de moi. Aller jusqu’au bout du bout du bout, c’est mon plus cher ...