Pour l'amour du français
Datte: 25/06/2019,
Catégories:
h,
fplusag,
jeunes,
profélève,
école,
amour,
cérébral,
revede,
Masturbation
nopéné,
Auteur: Balou, Source: Revebebe
... en brosse. Je le soupçonnais d’avoir des tendances gay. Il était aussi grand que moi. Nous étions de vrais amis. Il m’avait franchement avoué qu’il était attiré par les garçons et qu’il se branlait souvent en pensant au prof de math, le petit ami de Catherine. À mon égard, il n’avait jamais rien tenté, mais parfois à la piscine il me frôlait d’un peu trop près en laissant ses mains traîner. Dans les vestiaires, il regardait mon bas ventre, et il cachait son érection avec la serviette pour que les autres gars ne voient rien. Je savais, et lui aussi qu’il agissait ainsi par jeu. Il avait une belle toison blonde où dardait un sexe de bonne taille, au gland rose.
J’étais plutôt attiré par sa mère qui frisait la quarantaine. Une femme blonde, sportive, fan de tennis. Elle ressemblait à Chris Evert la star du tennis mondial. C’est elle, d’ailleurs, qui m’a initié à l’amour par un après midi torride de juin. Roland n’en sut jamais rien, c’était notre jardin secret.
Maintenant je suis un quadra mûr, et Mireille, mon initiatrice, est à la retraite. Nous n’avons couché qu’une fois ensemble, mais j’en garde un souvenir ému. Elle également, car lorsque nous nous rencontrons, je sens bien qu’elle pense souvent à moi. Mireille est restée très fine, bronzée toute l’année, toujours aussi séduisante.
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Je me retrouvai donc en cours de français, seul à mon pupitre. Roland acceptait que je fasse mon intéressant en grammaire et orthographe. Il savait maintenant que ...
... j’en pinçais pour Catherine. Je lui avais raconté l’épisode de ce matin. Il s’était gentiment moqué de moi en m’avouant « j’aurais bien aimé être avec toi et te voir te branler ». J’avais esquissé un sourire et dit « ta mère aussi est une belle femme ».
— Putain t’es con, touche pas à ma mère, hein ?
— Arrête, je blague.
Ma répartie l’avait calmé.
Durant les deux heures de cours de Cathy, je restai studieux et respectueux. Je jetais des regards noirs aux autres cancrelats qui chamaillaient. À la récré j’en ferai mon affaire. Roland, lui, se tenait à carreau. Les mecs savaient que j’étais fort en distributeur de baffes, sans pour autant ressembler à notre Obélix national. J’étais un garçon de la rue, et se battre était facile pour moi. Je protégeais les petits car j’avais en horreur que les plus grands fassent chier les jeunes pousses. Mais je me faisais payer en monnaie sonnante et trébuchante pour fournir les devoirs de français aux analphabètes de la classe.
Un jour, n’y tenant plus, je remis entre les copies de Cathy une petite prose que j’avais pondue pour ma belle. J’espérais secrètement qu’elle aurait envie de moi. Je dois avouer que ce texte comportait des métaphores assez osées.
Hélas les jours passaient, les vacances approchaient. Cathy ne me fit aucune remarque, elle restait égale à elle-même. Je me demandais si mon enveloppe ne s’était pas égarée dans la multitude de documents.
Au début juin, à la fin du cours Cathy me demanda de rester quelques ...