1. Pour l'amour du français


    Datte: 25/06/2019, Catégories: h, fplusag, jeunes, profélève, école, amour, cérébral, revede, Masturbation nopéné, Auteur: Balou, Source: Revebebe

    ... le macadam pour dévisser ces satanés écrous qui me résistaient, l’oxydation aidant.
    
    Enfin au bout d’une petite demi-heure, je rangeai au fond du coffre les outils et la roue à réparer.
    
    — Mille mercis, vous êtes formidable, dit Catherine de sa voix si sensuelle et légèrement rauque.
    — De rien Madame, à votre service, bafouillai-je.
    
    Je me tenais gauchement devant elle, ne sachant quoi dire. Soudain elle s’approcha de moi, nous avions la même taille, et sa main caressa tendrement ma joue, puis elle me fit deux bises.
    
    Ses lèvres, ses doigts, provoquèrent de divins frissons en moi.
    
    — À tout à l’heure mon cher Balou et encore grand merci.
    
    La voiture démarra. Je me retrouvai seul avec mon vélo. Une puissante érection se développa. Je me sentais à l’étroit dans mon pantalon serré. J’avais terriblement envie de Catherine. J’avisai un petit bosquet non loin. Mon vélo caché, je me débraguettai, et m’empoignai pour une masturbation explosive derrière les arbrisseaux. Je pensais à ma prof. Elle portait une jupe beige, des bas couleur chair, ses cheveux châtain voltigeaient dans le vent. Elle était belle Catherine. J’imaginais que sa bouche me suçait, que ses doigts allaient et venaient sur ma hampe. Je voyais sa chevelure soudée à mon bas ventre, je la caressais tendrement.
    
    Cette vision m’arracha un cri, le plaisir monta rapidement en moi et j’éjaculais dans l’herbe à longs jets de laitance blanche. Mon érection n’avait pas faibli, je voulais encore jouir ainsi. Je ...
    ... portai mes doigts maculés à ma bouche, de mon autre main je continuais à me caresser. Ma langue lécha les restes de sperme, je m’en délectais, c’était bon. J’embrassais Catherine à pleine bouche pour partager ma sève avec elle. Sa bouche était chaude, sa langue se mêla à la mienne.
    
    Un gémissement.
    
    Je jouis une seconde fois, en éjaculant abondamment.
    
    ’’’’’’’’’’’’’
    
    Assis en cours de bio, au fond de la classe je rêvassais en pensant à l’aventure de ce matin. Mon pote Roland me regardait d’un air moqueur, il me chuchota :
    
    — Toi t’es amoureux mon gars ou j’y connais rien.
    — Hein ?
    — Vous deux là au fond taisez-vous ! Cria une voix.
    
    Le prof de bio m’énervait, il était myope et portait des hublots sur son pif d’alcoolo. En plus il était bourré de tics, c’était marrant de le voir gesticuler en écrivant au tableau. La craie crissait horriblement à nos oreilles. Seul Martin debout au coin, s’en foutait.
    
    Ah Martin, on lui en avait déjà fait des vertes et des pas mûres. Ce matin on lui avait fourré une craie entre les dents comme s’il fumait. Et le prof qu’on appelait Elmer, n’avait rien remarqué, comme d’habitude. Il avait de belles dents, Martin, bien conservé par son âge, le gus.
    
    Ses os blancs nous narguaient, un squelette avait-il des pensées ?
    
    Oui j’étais amoureux de ma Belle prof, j’avais envie de vite la retrouver en cours.
    
    ’’’’’’’’’’’’’’’’’
    
    Roland était un grand blond, au regard bleu azur. Il avait les cheveux coupés courts pour l’époque, presque ...
«1234...»